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L'auteur d'on dictionnaire ou. les mots sont arrangés d'après les cinq consonnances, du tsi-ytzn , dit qu'on reconnaît le vrai iu â ce qu'en le omettant, sur un grand feu, et l'y faisant chauffer fortement, il n'éprouve aucune altération. On lit dans les gloses du I-king, que l'hexagramnne ting, composé du trigramme du feu surmonté de celui du vent est iu et hiouan; ce qui est pour marquer la solidité , la dureté , jointes à l'éclat. On y voit pareillement que le trigramme du ciel est assimilé au iu et à l'or; et les commentaires assurent que par cette comparaison on veut exprimer la pureté, l'éclat. 11 y a dans le livre desVers ».ne comparaison absolument semblable. Le livre sacré des rites compare le sage à la pierre de iu, â cause de ses cinq qualités principales, et c'est évidemment en cet endroit que Hia-chin a pris l'idée de la similitude qu'il n'a fait que présenter d'une manière inverse. L'éclat tempéré du iu , c'est l'humanité; sa dureté parfaite, c'est le savoir ou la prudence; ses angles que tien ne saurait émousser , représentent la justice ; suspendu, il figure l'urbanité; frappé, il rend un son pur qui se prolonge avec unie harmonie inexprimable, et qui représente la joie ; son éclat , quand il est sans défaut et