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l'ai priée d'examiner les objets en pierre de Lu qui pouvaient exister dans les collections pr1bli:lries de Londres. Ce n'est pas, ainsi que je l'ai (Via rait observer, qu'il rie doive s'en trouver aussi dans les collections qui sont sur le continent. _%ris c'est qu'en Angleterre ces échantillons, dont l'origine est bien connue, ont conservé le nom qu'on leur donne dans le pays d'où ils sont venus. Voici ce que M. VV. Huttrnann, -esq., s'est empressé de me répondre : u S. M. (le roi d'Angleterre) possède deux sceptres; la compagnie des Indes en a un troisième, et il y a au Muséum britannique plusieurs échantillons de iu, tantbrut que travaillé. M. Koenig, garde des objets d'histoire naturelle au Muséum britannique, m'assure que la pierre de iu est sans aucun doute
(unquestionably) la inéme que la substance appelée jade de la Chine, et celle-ci d son tour paraît étroitement liée d la prehnite. M. Koenig a le projet d'en faire l'analyse , et il m'informera du résultat de son examen (i)
(i) M. Koenig a eu la bonté, depuis cette époque, de me confirmer .lui-même les renseignemens dont il s'agit , par une lettre qu'il m'a fait l'honneur de m'écrire, le 23 février 1819.
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