国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.2 | |
五百の物語と寓話 : vol.2 |
PSI NAI YE 1;O SENG CHE (Nos 380-381) 389
brûlés ensemble. Un deva prononça du haut des airs cette gâthâ :
(Ce roi) voulait chercher (un avantage) dans celte affaire; — mais, au contraire, il rencontra encore un autre (malheur) (1); — il espérait d'abord (posséder) la déesse à la voix mélodieuse, — mais le mari et la femme périrent tous deux.
No 381.
(Trip., XVII, 3, p. 67 v°-68 v°.)
Autrefois, dans la ville de P'o-lo-ni-sseu (Vârânasi), il y avait un roi dont la description est semblable à celle qui a été donnée précédemment ; or l'épouse de ce roi mit au monde un fils de roi ; le visage de cet enfant était régulier et majestueux ; son teint était rose et blanc ; sa figure était parfaitement circulaire comme le dessus d'un parasol ; ses mains et ses bras pendaient comme la trompe d'un éléphant ; ses deux sourcils se réunissaient ; son front était large ; son nez était droit ; les articulations de ses membres étaient toutes d'une rondeur absolue. Au moment où il naquit, toutes sortes de phénomènes de bon augure se produisirent. Vingt et un jours après sa naissance, ses parents se réunirent pour célébrer une fête ; les ministres se dirent alors les uns aux autres : « Quand ce fils de roi est né, des centaines et des milliers de phénomènes de bon augure ont apparu. » A cause de cela ils lui donnèrent le nom de Chan-hing (excellente-action). Le développement (au sujet de l'enfance du. prince) a été donné plus haut.
(1) Le roi Brahmadatta voulait profiter de la mort du kinnara pour épouser de force la femme de celui-ci ; mais au contraire il provoqua le suicide de sa captive.
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