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『東洋文庫所蔵』貴重書デジタルアーカイブ

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0197 Le T'ai Chan : vol.1
泰山 : vol.1
Le T'ai Chan : vol.1 / 197 ページ(カラー画像)

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doi: 10.20676/00000293
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Iôi

le Che-cheou 1). Que chacun de vous s'acquitte avec zèle de ses fonctions ; pour ceux qui ne rempliraient pas leurs obligations, le gouvernement a des châtiments réguliers."

L'empereur se purifia dans le palais de voyage pendant quatre jours ; quand fut arrivé le troisième jour de purification, les fonctionnaires attachés à la personne de l'empereur et qui devaient faire l'ascension à sa suite, ainsi que tous les fonctionnaires qui prenaient part à la cérémonie et les envoyés étrangers des diverses régions se purifièrent tous pendant une nuit dans les bâtiments officiels de leurs administrations respectives.

Un jour avant le sacrifice, les gardes du corps ordonnèrent à leurs subordonnés de disposer, un quart-d'heure après l'heure wei (I-3 heures de l'après midi), la moitié des armes appartenant à l'étendard jaune en dehors du talus extérieur pour se purifier là pendant une nuit avec les musiciens.

Les fonctionnaires' que cela concernait firent un autel rond 2) à quatre li au Sud du Pic majestueux 3) ; il eut trois étages et douze escaliers et fut conforme aux règles qu'on observe pour le tertre rond 4). Le sommet de l'autel fut peint en vert, et les quatre côtés de la couleur appropriée au côté auquel ils correspondaient respectivement. En même temps on fit un autel pour l'offrande qui devrait être brûlée, et trois rangs de talus. On fabriqua en outre trois liasses de fiches de jade qui étaient toutes formées de fiches de jade reliées entre elles par un lien d'or; chaque fiche était longue de i pied et 2 pouces, large de I pouce et 2 fen, épaisse de 3 fen 5); des caractères d'écriture y furent gravés sur le

  1. Cf. le chapitre »Description du T'ai chan", 173.

  2. I1 s'agit de l'autel sur lequel on célèbre le sacrifice fong au pied de la montagne (fong sseu t'an).

  3. L'expression   désigne le T'ai chan.

  1. C'est-à-dire l'autel

méridionale de la capitale.

  1. Cf. P. 174, n. 4.

sur lequel on sacrifie au Ciel dans la banlieue