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『東洋文庫所蔵』貴重書デジタルアーカイブ

bornant à me conformer ') à la décision primitive qu'a prise relativement à trente-sept propriétés. foncières Pou-tche-eul précédemment investi par un édit du titre de juge suprême, j'ordonne que (ces propriétés) soient remises à l'abbé (du temple) Chao-lin. Qu'on se conforme à cela 2).

«Fait 3) à K`ai-p`inq fou 4), le onzième jour du septième mois de l'année wou-wou (1258) » 5).

Koubilaï succéda sur le trône impérial à son frère Mangou en 1259. Ce fut donc comme empereur qu'il eut l'occasion en 1261 de confirmer les décisions qu'il avait prises en 1258 lorsqu'il n'était encore que prince héritier. C'est à l'année 1261 en effet que je crois pouvoir rapporter l'édit suivant qui est daté de l'année de la poule:

N° VI 6).

«Par la puissance du Ciel éternel, l'Empereur. Edit. 7)

«Edit adressé 8) aux membres des sivan-fou-sseu 9), aux ta-louhoua-tch`e (darougha) 10) des villes et des villages, aux fonctionnaires civils, à l'Homme Véritable Tchang qui est le chef des sien-cheng (religieux taoïstes) : 11)

1.  triQ v1   . Cf. dans la pièce n° IX : 411 -' , et, dans la pièce

2.     te . Cf. p. 371, n. 1.

3.  11 . Cf. p. 380, n. 9, et p. 387, n. 3.   4) Chang-tou. Cf. p. 383, n. 2.

5. Je supprime la mention certainement fautive de la période tche-yuan; cf. p. 388, lignes 1-14.

6. Pien wei lou, chap. II, p.65 v°-66 r°.   7) Cf. p. 368, n. 3.

8.  Vi   f j   n. Cette formule se retrouve dans les édits de 1311, 1314
   et 1335 (nos IX, X, XIII).

9.  Les Sivan fou-sseu   h,f HJ étaient des administrations provinciales qui avaient
   chacune à leur tête un darougha et un sivan fouJ;~ (Yuan che, chap. XCI, p. 3 r°).

10. Cf. p. 389, n. 1.

11. #K   A Ji   5t   tg   . Cf. p. 378, n. 4.