22 LES CASTES INFÉRIEURES.
attachée dans l'iconographie postérieure d'une pa nages à buste d'homme et à corps d'oiseau , de l' humains à tête de cheval, tandis qu'une inscriptio signe ainsi des êtres à buste humain terminé en feu que nous serions autorisés à ranger également s les génies, ailés ou non et sortant à mi-corps de trouve répandus jusqu'en Asie centrale (2), soit familiers à l'école du Gandhara comme à la vieil] (cf. I, p. 210-212).
Ceci nous induit aussitôt à faire un curieux re mier chapitre de notre seconde partie (chap. iv) est en effet intervenu depuis, qui a fortemen point de vue, nous voulons dire la lecture d l'expérience acquise de leur caractère foncièren vérité nous av ions pris la précaution de faire vernal que nombre de prétendus «motifs décoratifs') cc eu pour les initiés un sens traditionnel ou mêi pieuse,' ; mais à ce moment nous nous préoccupi leur aspect extérieur. Plus soucieux à présent d forme, c'est au contraire le sens intime de ce recherche rétrospectivement notre regard. Là voulu voir que des centaures, des victoires, des atl ou des amours, nous inclinerions maintenant à personnages de la mythologie bouddhique et à le mal gré de noms indiens. Tout nous y invite. Ce s
(') Pl. XXVII, i 2 : la pierre est brisée, mais rien ne garantit que, comme le veut CUNNINGHAM, ibid., p. 69,ils aient eu des ,ejambes d'oiseaux».
(2) Ancient Khotan, t. Il, pi. LVI; Idikutachari, pi. XIX.
0) Peut-être même le suparna de la figure 89, les deux types tendant à se confondre (cf. plus bas, p. 4o). Rapprocher d'autre part la Yaksinâ açvarnukhi (Jdt.,
n° 432) des palus (RAJENDRALÂL MI pi. XXXIV, 2), du et de la grotte xvii qui, comme la Dè figurée avec une té fois M. J. Ph. VOG cutla une représent Canda-Kirnnara jât héros ont simplem
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