58 LES CASTES INFÉRIEURES
présente ainsi une ressemblance, trop évident( avec un des attributs que brandit Çiva sur les m (pl. V, 10) ;I) et que l'iconographie a plus tard confusion facile, comme un tambourin en for qu'il en soit, cette arme invincible suffit à distin tous les Yaksas. Elle ne saurait se confondre ei d'Â tavika (cf. fig. 9,53 et 33) ni avec la air kûta) que brandissent dans les textes d'autres à fait par hasard qu'il croit utile de se munir épée indienne (fig. 140, 227, 270) comme te de l'armée de Mâra (fig. 3o6). Il faut avoue foudre ne laisse pas de l'embarrasser quelque n'ignore pas que cela se tient par le milieu (cf. 193-1911, 197,26,2113,51, 256, 267, 2' 281, 326, 332), mais fort souvent il se conter l'extrémité inférieure sur la paume de sa ma (fig. 187, 1.95-198, 199, 213, 229, 266 334). Parfois même, mais ceci à titre tout à le maintient appuyé d'un bout sur sa hanche ou droite (fig. 222). On dirait que, chez lui, parfois s'oblitère, avec les résultats connex constatés, au profit du sceptre de Jupiter, de ou du caducée de Mercure. Mais si diverses attitudes, toutes rentrent dans une même fo nous a amicalement suggérée l'admirable pers' c'est toujours au fond celle du licteur flanquar le personnage consulaire. Or, demanderons-not un monument quelconque de l'époque romai la physionomie, l'équipage ou la pose même il n'y a que le faisceau, ou même le fer de ha(
(I) P. GARDNER, Cat., pl. XXVI, i 2 ;
XXVIII, 14-16, et p. Lxv; et V. SMITH, Cat., pi. XI, 9 y voient avec raison un
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