SION DES DOCTRINES BOUDDHIQUES. 377
,chisme serait d'origine gandhârienne, ût pas propagée en même temps que i bien dans la Haute-Asie que dans le nent pourrait-on, quand on y pense, nitiative à des champions obstinés du
LE MAHAYANA. - Il faut donc s'y résis recherches, nous ne possédons touraphie mahâyânique que deux renseid'ordre historique et l'autre d'ordre a-hien (1) a noté que le culte d'Avaloit en faveur à Mathurâ, au commene ère; d'autre part, les fouilles de es images certaines, de style Gupta, temps ou légèrement postérieures(2). rêt à admettre que les origines de ce résentations figurées remontent plus a bien fallu aux unes comme à l'autre es. Nous nous garderons donc de nier textes du Mahâyâna aient pu (ainsi ns chinoises le rend vraisemblable) s tardives de l'art gréco-bouddhique 5) ; mais nous ne saurions aller plus dans cette impasse, car nous venons part, pas plus dans l'Inde que dans c, la question nous paraît avoir été ilernent, mieux vaudrait en renverser chercher la problématique influence sur une école, qui de toute évidence divement, si jamais, à son service,
Rep. 19011-1905, p. 81 et suiv., et pi. XXVIII-
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