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L'art Greco-Bouddhique du Gandhâra : vol.2 |
GÉNÉRALE DES IMAGES. 345
que la sienne. Mais rien n'empêche :re sculpté en groupe ou isolément, il ait t dans quelque grande composition murale la figure 536 : et c'est bien d'une fresque ir avec sa tête chargée de l'orbe, si pesant nbe('). Tel qu'il est, et pour nous borner Kistants, il est certain que la genèse de bien qu'en partant de la tête du Bodhi-
loine : il reste donc au moins probable
liement produite au cours d'une illustra-
aphie, en sa qualité de prince fondateur
e Siddhârtha, à son tour, et plus encore
res succédanés, les images, tardivement
clairement issues tant des motifs légen-
il demeure sûrement quelque chose de ndance de l'idole à jouer un rôle de plus térieur du bas-relief. On peut se montrer
ce point que le mouvement a débordé re à l'Inde entière et même à l'Extrêmeénarès, par exemple, en témoignent n que les sculptures rupestres de Yun'g. 564-565). Non seulement l'image r tout l'espace disponible au détriment des scènes, mais le goût des statues a des bas-reliefs : si bien que depuis long-là où il subsiste encore, comme par ue plus guère, en fait de sculpture, que ion s'est produite en petit au Gandhara, images sont allées en se multipliant. uve que le grand nombre de celles que les fouilles, et le fait que pour les enva-
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