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L'art Greco-Bouddhique du Gandhâra : vol.2 |
-INIQUE DES IMAGES. 353
'vation ethnographique, voire même la local. Assurément rien en ce genre ne .ux, dénonçant aussitôt des attaches ou .e l'Inde connût dès lors les images monsmultiples, dans lesquelles s'est complu )nnaire et qui, pour beaucoup d'Eurostique de son art, les Çiva et le Visnu onnaies et camées indo-scythes nous en e (i). Nous ne serons pas plutôt descendus 7,ontrerons une image polycéphale de la atuaire du Gandhâra n'avait encore rien la récente découverte de deux statues t de basse époque, et dont l'une au é favorite, la redoutable et secourable c de façon beaucoup plus discrète que forcément réagi sur la technique des s comme premier et plus clair témoin Veuillez revoir nos figures de femmes 374 et suiv.). D'une part les anthrola façon dont chez elles n les seins sont tout particulier de la race hindoue(`') ». : in que cet idéal de beauté plantureuse : telles Çakuntalâ, la plupart de nos le poids de leurs appâts. Il serait
NE R , History of Fine Art in India, fig. 78 :
7 ; l'allure générale de cette statue, d'ailleurs
eux très endommagée, est tout à fait celle de
nier notre fig. 487 ; mais le fait qu'elle tient
. V, un lotus (?) dans la première main de
ans droite et dans ses deux mains inférieures
III, la massue et la roue (c'est-à-dire juste-
III, ment les mêmes attributs que le Visriu
cité ci-dessus) désigne selon toute proba-
1 2 , bilité une Laksmî.
(4)M. DE UJFALVY, L'Anth'ropologie,1902,
Tii, p. 455.
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