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0139 La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2
La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2 / Page 139 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000237
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LES REACTIONS OCCIDENTALES SUR LE BOUDDHISME

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que des rites analogues ont été signalés en Grèce (bibliographie dans W. W. TARN, The Greeks in Bactria and India,

p. 205) .

15. (Do). Sur l'interdiction par Mânî de la vie sédentaire et de la possession d'une maison, ainsi que sur les cinq salles communes des couvents manichéens, se reporter de nouveau à l'article d'Ed. CHAVANNES et P. PELLIOT dans J. A. nov.-déc. 1911, p. 572-3, et janv.-févr. 1913, p. 108-113.

x6. (P. 297). Sur la question du logement des moines bouddhiques, v. H. KERN, Manual of Indian Buddhism, p. 81. On peut voir encore en vigueur au Cambodge l'antique système des couvents constitués par des groupes de petites huttes indépendantes les unes des autres et (particularité locale) juchées sur pilotis. — Les couvents du Gandhâra sont décrits dans AgbG. I, p. 158-178, où l'on trouvera les références aux textes de Fa-hien et de Yi-tsing. — Sur la transformation des ermites chrétiens en cénobites, v. Paulin LADEUZE, Essai sur le cénobitisme pakhémien (Paris, 1898). — Les Canons de Mar Rabbula sont analysés dans E. R. HAYES, L'École d'Édesse, p. x80. V. également J. S. AssEMANI, Bibliotheca Orientalis, t. II, § x, et III, z, p. 86o s.; E. W. BUDGE, The Book of Governors (Londres, 1893), notamment p. cxviii s.; J. CHABOT, Regulea monastica Saculo VI ab Abraham fundatore et Dadjesu redore conventus Syrorum in monte Izla condita (texte syriaque et trad. latine dans les Rendiconti della R. Acad. dei Lincei, Classe di Scienze morali, storiche e philologiche, vol. VII, p. 39 s., 77 s. Rome, 1898). Dans la Rev. de l'Hist. des Religions, mai-juin 1933,

p. 189 en note, M. F. CUMONT constate que • la doctrine manichéenne, tout imprégnée d'ascétisme hindou, se répandit dans la Thébaide précisément à l'époque où y naissait le monachisme chrétien • et se demande si, dans ce cas encore, elle n'a pas servi d'intermédiaire entre le monde méditerranéen et l'Inde.

  1. (Do). V. Sylvain Ltvz dans J. A. janv.-mars 1936, p. loi et I14-5. Sur la renaissance de l'épître au vile siècle avec le Çishyalêkha de ëandragômin, v. ibid., p. III. — Dans le numéro de la R. H. R. cité n. x6, M. Franz CUMONT doit s'occuper également (p. 135) des épîtres de Mani. — Nous ne faisons pas état de la e Lettre de Tansar au roi du Tabaristân * qui est apocryphe et ne date que du vie siècle (A. CHRISTENSEN, L'Iran sous les Sassanides, p. 56-61).

  2. (P. zg8). Sur les hymnes de Bardesane et de saint Ephrem, V. E. R. HAYES, loc. laud., p. 79, 83, 137; sur ceux de Mânf, qui n'a pas non plus négligé ce puissant moyen d'agir sur les âmes, v. F. Custom., loc. laud., p. 187; sur ceux de Mâtrilêta, M. WINTERNITZ, Hist. Ind. Lit., II, p. 27o et 376, et Cf. YI-TSING, Records, trad. Takakusu, p. 156. — Le fait que le Çvêta-dvîpa (mentionné par ex. dans Mahdbadrata, xi', adh. 337) soit devenu dans la mytho

logie le paradis attitré de Vishnu ne l'empêche pas d'avoir une localisation géographique au Nord-Ouest • de l'Inde. — La citation de Rhys DAVIDS est empruntée à HASTINGS, Encyclopcedia of Religion and Ethics, t. VII, p. 3, et celle de saint Augustin à ses Confessions, IX, 6-7. — Faut-il rappeler que les psaumes de David ont été traduits de l'hébreu en syriaque et du syriaque en pehlvi, et noter que dans la littérature chrétienne le mot • hymne • est passé au féminin ?

  1. (P. 299). Les termes de cette description sont simplement empruntés d'une part à l'analyse de la Pistis Sophia donnée par Eug. de FAYE, Gnostiques et Gnosticisme (Paris, 1913), p. 257 s., et d'autre part à l'étude des Mahdydna-sutra faite par WINTERNITZ, Hist. ind. Lit., II, p. 294 S.

  2. (P. 300). Sur la période Gupta, v. les histoires générales de l'Inde et la bibliographie donnée par L. de LA VALLÉE POUSSIN (Dynasties et Hist. de l'Inde depuis Kanishka jusqu'aux invasions musulmanes, Paris, 5935, p• 27-32 et 297303) pour toutes les questions que nous ne pouvons• même pas soulever ici (sources de l'astronomie indienne, provenance des chiffres dits arabes et du système décimal, etc.). — V. aussi S. Làvi, L'Inde civilisatrice (Paris, 1938), ch. vI; et sur les rapports entre le roman grec et la kathd indienne, F. LACOTE, Mélanges d'indianisme offerts par ses élèves d Sylvain Lévi (Paris, 1911), p. 248-304.

  3. (DO). Sylvain Làvi, Alexandre et Alexandrie * dans les documents indiens (Mélanges Maspero, II, p. 155-164 et 389-390 dans les Mémoires de l'Institut français du Caire, t. XVII (x934), reproduit dans le Mémorial Sylvain Lévi, p. 413. — Il faut noter à ce propos que le PseudoCallisthène a de bonne heure été traduit dans toutes les langues de l'Asie antérieure et que, d'après NOELDEKE, Beiträge zur Geschichte des Alexander romans (Vienne, i89o), la version pehlvie serait au plus tard du vile siècle. Cf. l'introduction à la trad. de la version éthiopienne de E. A. Wallis BUDGE, The Life and Exploits of Alexander the Great, Londres, 1896, p. xix s. Pour les relations littéraires entre l'Occident et l'Inde, v. aussi le dernier chapitre du livre si souvent cité de M. W. W. TARN, p. 378 S.

  4. (P. 301). Dans un article du J. A. (sept-oct. 1917, p. 269-288) sur La vie chrétienne du Bouddha, M. P. ALFARIC estime que des fragments de la version ouïgoure de la biographie manichéenne de Çâkya-muni ont été retrouvés au Turfan. — On notera que nous ne parlons ici que de livres ; pour les migrations des fabl • fabliaux et contes, de fée, V. WINTERNITZ, Hist. Ind. Lit. Il, p. 402, note I, où sont énumérés les renvois.

  5. (P. 302). Reljatarangix£, vii, 66-9. — Le manichéisme a partagé en pays musulman le sort du -bouddhisme.

  6. (P. 303). Cf. AgbG. II, p. 56o s.

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