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0245 La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2
La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2 / Page 245 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000237
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INDEX-LEXIQUE

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ProLaMEE (Claudius), le grand cosmographe grécoégyptien du 1r« siècle, cité ou mentionné 32, 41, 51, 146, 213-5, 223, 226, 234-5, 274, 318, 326, 365.

Pt4jâ (skt.), culte non sanglant, en c.,atraste avec le sacrifice (yajita, s. v.), 269.

Purkna (skt. littt . Ancien »), n. donné à de grandes compilations versifiées, faisant partie de la tradition religieuse (smriti) et traitant de cosmographie, de mythologie et d'histoire légendaire, 263, 266, 275.

Pushkarâvatt ou Pushkalâvata (skt.; gr. Peukélaôtis; ch. Pou-she-kie-lo-fa-ti), ancienne capitale du Gan-d'ara, au confluent de la Kubhâ et du Suvastu (v. la carte des p. 206 et 207), avant la fondation de Peshawar à la fin du ter siècle, 41-2, 47, 5o, 156, 206, 211, 237, 277; sa monnaie, 263, 334; ses rapports avec l'art gréco-bouddhique, 312, 315, 321, 325, 339-40.

PUSITYAMITRA, fondateur de la dynastie indienne des Çuitgas (s. v.), laquelle supplanta celle des Mauryas, 210, 275.

Q

Qk jtla-bksh£ (ar. et turc) « chef de caravane », 1 r n. 6, 13.

Qal'at (ar. ou plutôt forme arabisée d'un ancien nom asianique Ka(1)la, passé en iranien sous la forme Kalât OU Kalâk; cf. E. BENVENISTE, Noms cariens dans Revue Hitt: Asian. I, p. 52-57) « château-fort », dans Qal'at-é-Serâj, 35, 15o.

Qaleh, forme vulgaire du précédent, s'appliquant à toute habitation entourée par une enceinte de hauts murs percés d'une seule porte, ainsi que se présentent les fermes d'Afghânistân, 35, 136, 144•

Qaleh-Sarkârl ou « du Gouvernement », chef-lieu, 25; - Surkh, « le Château rouge », n. d'une ferme voisine de Chârikâr, 143, 172, pl. 29 C, et d'une caverne a la tète de la rivière de Khulm, 122-3, 171, pl. 28 /. Cf. Kâfir-qaleh, etc.

QUINTUS CURTIUS, littérateur latin du 1«r siècle, auteur d'une Histoire d'Alexandre citée ro n. 4, 13, 167 n. 11, 180, 201, 203, 215 n. 3, 216 n. 16, 2r7 n. 18 et 22.

Qishlâq (turc), « quartiers d'hiver », 15.

QIZIL-BAsH (turc), considérés comme les descendants persisés des esclaves turcs de Tamerlan, ainsi nommés a cause du bonnet rouge qui leur servait de marque distinctive, 179.

R

Râjataratigin£, skt. litt' « la Rivière (ou succession vague après vague) des Rois », chronique royale du Kaçmtr, rédigée au milieu du mi* siècle par l'historien-poète Kalhana, admirablement éditée et traduite par Sir Aurel Stein, 244, 247, 259.

RA6JIY-SINGH (Mahâraja), fondateur au Pailjâb d'un royaume sikh indépendant avec sa capitale a Lahore

(1780-1839), 367, 385.

RAPSON (E. J.), cité 80, 218 n. 31, 263-4, 311 et passim dans les notes.

Rausa ou Ramat (ar.) ne désigne pas proprement une tombe, comme on le croit communément, mais un jardin ., et par extension un jardin paradisiaque, d'où l'application de ce terme au lieu de sépulture de grands personnages tels par ex. qu'Aureng-Zeb près d'Ellora, Mahmßd à Ghaznl, 'Ali à Mazâr-é-Sharif, etc.; 162.

Reliques (les deux espèces de), 279.

Rishi (skt.), originairement les « patriarches . de l'Inde qui ont « vu , et divulgué la Révélation védique; puis, par extension tous les grands sages et saints du passé, 267, 289.

Rivières (les Cinq), v. Pafijâb; les Sept -, les mêmes cinq, plus l'Indus et la rivière de Kâbul, 185, 357.

Robât (de l'ar. rabât, ■ station-frontière, auberge »), terme usuel en Afghânistan pour désigner un cara-

vansérai, 22, 25, 27, 148, 161.. Robât-âq . ne serait pas, comme nous l'avons d'abord cru, une forme irrégulière de composé pour « Âq-Robât s (s. v.), mais un diminutif « Robâtak, le petit caravansérai », 21; - de Târ-bulaq, 161; pl. 1 e et cf. 2 /.

Routes anciennes et modernes d'Asie, 4-7, fig. 2; d'Afghanistan, 8-1 r, fig. 3 et 4; Grand Trunk Road de l'Inde du N:O., 7, 199, 359•

Rtlpakâra (ski. littt « fabricant de figures, imagier .), nom indien des sculpteurs, 331, 346.

RUSTAM, fils de Zal, héros légendaire de l'Irân oriental, auquel la croyance populaire attribue d'office les anciens monuments, V. Takht et Tôp.

S

Sacées (fête printanière des), 266-7.

Sâdhu (ski. « bon, homme de bien »), n. donné de confiance aux ascètes hindous de l'époque actuelle, représentant les anciens çramana (s. v.), 259.

Saféd-Kôh, v. Montagnes-Blanches.

Sâgala, v. Çâkala.

Sâhib (ar. « compagnon, ami s), appellation honorifique dont sont gratifiés dans l'Inde tous les Européens,

314•

SAKA, n. générique donné par les Perses à toutes les tribus scythes (s. v.), 187. V. Çaka.

Sakastâna, v. Séistân.

Salang (écrit aussi Sal-aulang, Sir-i-lung, abréviation probable de Sar-ßlang, : « la tête de la prairie »), passe et route à travers l'Hindùkush (v. la carte de la p. 2x), 20, 22 s., 28 n. 5, 48, 162; pl. 3 d et e. - Ne pas confondre l'étape d'Olang au pied de ladite passe, 23, pl. 3 f, avec le village de Sir-Wang dans la vallée du Darrah-Yusuf, 25.

Samana, pâti pour çramana, s. v.

Santsâra (skt. « tourbillon . des renaissances, trad. en 11. par revolutio), 294; - éakra, « roue de la transmigration » figurée avec les gati (s. v.) entre ses rayons et les douze « causes-effets . sur sa jante sous la vérandah d'une des grottes d'Ajantâ et sur nombre de peintures tibétaines et japonaises,

319.

Samuch, terme courant pour désigner les innombrables grottes et cavernes des montagnes afghanes, 136.