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0187 La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2
La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2 / Page 187 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000237
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LE MODELAGE

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le renseignement relatif aux jambages de Palmyre (cf. in/ra,

n. 17). — Sur Doura-Europos, consulter le livre de M. Rostovtzeff cité supra, n. 11. — Les statues de bronze du Fars ont été reproduites notamment dans les Annales du Service archéologique de l'Iran (Athâr-e-Irân, t. II, fasc. II, p.285 et fig. 125-9), et le Geographical Journal, vol. 92, n° 4, oct. 2938 (Sir Aurel STEIN, An archaeological Journey in Western Iran, fig. 9-10). — Pour les Buddhas • assis à l'européenne (c'est • à la mode sàssanide * qu'en fait il faudrait dire), v. Agb G., II, fig. 485 et 567-8.

4. (P. 326). Pour ce qui est de Babylone, rappelons l'article de S. Lay!, Autour du Bâveru-jâtaka (Ann. de l'École des Hautes Études, Sc. phil., 1913-14; reproduit dans le Mémorial, p. 285 et s.). — Pour le commerce au temps des Séleucides, v. W. TARN, The Greeks in Bactria and India,

p. 366 s.; pour la période romaine, H. G. RAWLINSON, Intercourse between India and the Western World (Cambridge, 1916), et E. H. WARMINGTON, The Commerce between Me Roman Empire and India (1928); pour la Chine, F. HIRTH, The story of ChangK'ien (J. A. O. S., 37, 1917, p. 39), etc. Cf. Agb G., II, p. 52o s. pour la bibliographie antérieure. — Remarquons-le en passant, l'instinct du négoce est si vif en Orient que dans tous les documents géographiques que nous possédons, depuis le Périple de la Mer Érythrée jusqu'aux traités arabes, à la seule et honorable exception des pèlerins chinois, les préoccupations commerciales sont toujours au premier plan.

  1. (P. 327). Nous avons appris depuis que cette collection a été tout entière pillée et dispersée lors des troubles de Kabul en 1929 : mais elle peut être recommencée.

  2. (Do). Les résultats de la campagne de 1937 sur le chantier n° 2 ont paru dans le t. IX des Mémoires de la Délégation archéologique française en Afghanistan (23o p. et 128 pl., Paris, 1939) ; mais ceux, non moins remarquables, de la campagne suivante sont toujours inédits et ne pourront, hélas, faire l'objet que d'une publication posthume. — Cf. Amedei MAIURI, Statuette eburnea d'arte indiana a Pompei (Le Arte, déc.-janv. 1938, p. 111, pl. XLII-XLV) il ne s'agit pas, à notre avis, d'une statuette, encore moins d'une statuette de déesse, mais du manche d'un miroir analogue à celui où se mirent la coquette dame figurée sur les pl. LVIII-IX de M. et Mme Hackinet,sur un bas-relief gréco-bouddhique, la fiancée de Nanda (Agb G., fig. 234).

  3. (Do). Cf. H. SEYRIG, Inscription relative au commerce maritime de Palmyre (Mélanges Cumont, Bruxelles, 2936-

I, p. 398). D'autres inscriptions sont venues depuis confir mer le fait.

  1. (P. 328). Nous avons nous-même naguère fait la part peut-être un peu trop large à ces aventureux Grmculi (cf Rev. Hist. des Relig., XXX, 2894, p. 365). Avec l'âge nous avons eu tendance à diminuer l'importance de leur rôle Agb G., II, p. 527 et 776). Comme en toutes choses c'es une question de mesure.

  2. (Do). La citation est empruntée à M. Al. ;della SETTA, La Genesi dello Scorcio nell' arte greco (Rome, 1907). Cf. Agb G., II, p. 778.

  3. (P. 329). Parmi les édifices, seul ferait exception le temple de Jandial, lequel serait mazdéen (v. Sir John MARSHALL, Guide to Taxila, p. 86 s.). Les images non bouddhiques se réduisaient récemment encore à deux figurines de bronze, l'une d'Héraklès (Agb G., fig. 476), l'autre d'Harpocrate (Guide to Taxila, pl. XV); un buste de Dionysos en argent repoussé (ibid., pl. I); trois statuettes de pierre, l'une du dieu-Lune (et non du Soleil, A gb G., fig. 83), les deux autres de Çiva (publiées dans l'Arch. Surv. Ind., Ann. Rep. 1913-14, pl. LXXII, et 1914-15, part I, pl. XVI, sous le nom de Trimflrti); et un camée représentant un non moins indu-

bitable Vishnu (CUNNINGHAM, Later Indo-Scythians, pl. III) = Num. Chron., série III, vol. XV, pl. X). — Pour ce qui est des bas-reliefs, notons comme les seuls n'illustrant pas directement la légende du Buddha le parinirvdrta d'Ânanda (A gb G., II, p. 275 et fig. 444) et l'histoire du moine, du joaillier et de l'oiseau (J. A., mars-avril 2917, p. 271 s. et pl. III-IV).

  1. (P. 33o). Pour Jandial, v. la référence dans la note précédente; cf. STRABON (citation d'Aristobule) XV, 62, et ARRIEN, Indikè, 25,2 ; pour le temple de Multan, cf. supra p. 266. — Nous reviendrons dans un des appendices sur la question des inscriptions araméennes (in/re, p. 384).

  2. (D°) FA-HIEN, trad. S. Beal, p. LV. — Sur le caractère • asurique r des Iraniens dans les idées indiennes, cf. supra, p. 267. — D. B. SpooNER, The Zoroastrian Period of Indian history, J. R. A. S., 2915, p. 63-89 et 405455. — De nombreuses critiques parurent dans le même volume et le volume suivant. S'il est permis de rappeler un souvenir personnel, j'ai eu l'occasion, au cours de l'automne 1915, à la Columbia University de New-York, de m'entretenir des théories du docteur Spooner avec l'éminent iranisant et indianiste W. Jackson : notre conclusion fut qu'il était difficile d'exagérer l'influence iranienne sur l'Inde, mais que nous craignions que notre confrère n'y eût sur certains points réussi.

  3. (P. 332). Notons toutefois que de petites figurines de terre cuite de caractère très archaïque sont récemment sorties d'un tumulus du district de Peshawar.

  4. (P. 333). On remarquera peut-être que nous passons sous silence la question du passage du motif indien de la Nativité du Buddha à sa figuration indo-grecque : c'est qu'elle a été traitée en grand détail et avec non moins de six planches dans le Mémoire no 46 de l'Arch. Sur,. India (On the Iconography of the Buddha's Nativity, Delhi, 1934). Pour la survivance du symbole du lotus dans l'art gandharien v. notamment la pl. V. — V. également les pl. I-III dans Beginnings of Buddhist Art (Paris-Londres, 1917).

  5. (P. 334). E. SENART dans J. A., févr.-mars 189o, p. 139 s. — Cf. W. W. TARN, The Greeks in Bactria and India, p. 333, 394 et 404. — Agb G., II, p. 492. V. aussi Sir John MARSHALL, dans l'Arch. S. I., Ann. Report 1930-4, p. 151.

  6. (Do). W. TARN, toc. laud., p. 323, 334, 352. Le cachet de Théodamas, avec son nom écrit en kharoshthî, est reproduit dans le Corpus Inscr. Ind., II, part I, pl. I, 3, et la monnaie d'or de Pushkaravatl dans P. GARDNER, Cat., pl. XXIX, 15 (identifiée et commentée par E. J. RAPSON dans Camb. Hist. of India, I, p. 557 et 587, cf. pl. VI, 2o).

  7. (P. 336). W. TARN, loc. laud., p. 40o s., avec toutes les références pour les monnaies de Manès, et Memoir Arch. Surv. Ind., no 46, pl. IV, 7-8, pour les monnaies d'Azès et d'Azilisès. Faut-il rappeler que le type de la femme douchée par deux éléphants est resté dans l'iconographie postérieure l'apanage de la déesse Lakshmf ?

z8. (Do). Nous croyons superflu de reprendre ici le procès • Gandhara et Grèce versus Mathura et Inde s après les considérants impartiaux et le verdict sans appel que leur a consacrés M. W. TARN, loc. laud., p. 396 s.

29. (DO). V. Les Bas-reliefs d'Amardvati dans la Rev. des Arts Asiatiques, ye année, no 1. — Cf. Agb G., fig. 175-6 et 177; 208; 212-3 et 214; 220 et 221; 228; 247, et 248; 474-5, et Beginnings of Buddhist Art, pl. I-IV.

3o. (P. 338). Cf. Agb G., II, p. 389 et 4o2-4; 370. — Pour les peintures de Bâmyan, v. les t. II et III des Mém. de la Dél. Arch. fr. en A/gh. et J. BARTHOUX, Les Fouilles de Hedda, I, fig. 142.

31. (P. 339). Quelques brefs renseignements pourront servir à amorcer les recherches : pour les bijoux, v. Sir John

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