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0240 La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2
La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2 / Page 240 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000237
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INDEX-LEXIQUE

406

K6h-dâman (équivalent p. du fr. piedmont ou piémont) de Kâbul, 3o, 32, 139, 143-4, 27x, 365.

KAh-é-Bibi, la plus méridionale et la plus imposante des trois chatnes de l'Hindûkush (v. la carte des p. 18 et 133), Io, 18, 134. 231, 236.

KAh-é-Baccha ou K6h-é-Pahlavân, n. moderne de la colline située sur la rive sud du confluent du Paftjshir avec le Ghorband, et qui domine le Bégrâm de Kâpiçt, 14o, 163, 171, 265 pl. 29 c.

K6h-é-Seftd (p.), v. Montagne.

Koinè, n. de la langue grecque « commune », un moment répandue jusque dans le Moyen-Orient, 364.

KoNow (Sten), cité 120 n. 17, 225, 341-2, 386 et passim

dans les notes.

KOSMAS, dit Indikopleustés, « Qui a navigué aux Indes », voyageur du vie siècle, 236, 29o, 364.

Kotal, m. p. appliqué aux cols abrupts et rocailleux qui permettent les communications entre les bassins étagés du plateau iranien, 6, 14, 21, 23, 32-3.

Kra, (déformation populaire du mot koroh, cf. ski. kroça, « portée d'un cri », hind. kos), mesure itinéraire afghane, théoriquement équivalente au tiers d'un farsakh (s. v.), sait environ deux kilomètres, 16, si, 34-5, 122, 132.

Kshatrapa (n. attesté par les inscriptions et les monnaies « Qui garde le pouvoir »; transcription indienne du v.-p. x§aOrapâvân, qui, par l'intermédiaire du gr. « satrapes » a passé en /r. sous la forme « satrape », en conservant son sens de haut fonctionnaire, gouverneur d'une province dite « satrapie »), 224, 226; cf. 196 s., 2o9, 226, 278.

Kshatriya (m. ski. dérivé comme le précédent du vieux m. •indo-iranien av. x?;aOram, ski. Kshatram, « pouvoir, souveraineté » ; cf. av. x?;aOrya, « royal, seigneurial », et v.-p. xkâya0iya, traduit en gr. par Basileuse « roi ., et qui a donné en phi. et p. le m. Shâh), n. de la caste correspondant à notre ancienne noblesse d'épée, 23o, 275, 313-4.

Kubhâ ou Kubhânâ (skt. « la Terne », gr. KBphès ou K6phên), dite auj. rivière de Kâbul », mais représentant en réalité le cours inférieur du Ghorband et jalonnée par les trois grandes villes de Kâpiçf, Nagarahâra et Pushkarâvatt (v. la carte de la p. 51), 52, 151, 185, 204-5, 365.

Kuéa, Kutsa ou Kusha (ch. Kiu-cha), ville de l'Asie centrale sur la piste qui contourne au Nord le désert du Takla-makan, berceau (d'après Kumârajiva) de la famille royale des Kushâns (s. v.), 226, 343; chevaliers de -, 224.

KUALA-KADPHISÈS (Kujûla ou Kuydla, transcrit en gr. Kozoulo, serait un titre), fondateur de la dynastie dite des Kushâns, 225-6.

Kunâr, le Khoès de Ptolémée, n. donné en Afghânistân â la basse vallée de la rivière de Chitrâl, 51-2, 151, 172-3, 207-8, 3ô8, 352 n. 3.

Kunduz, ville du Turkestân afghan oriental (v. notamment la carte de la p. 21), auj. ,supplantée par Khânabâd, 48-9, 129; deux fois visitée par Hivan-tsang, 23o et 234.

Kurram (skt. Krumu), affluent de droite de l'Indus (v. la carte de la p. 13), 185-6, 231.

KUSHAN (skt. Kushâna, probabt dérivé d'une forme de génitif pluriel, les Cuseni d'Ammien Marcellin), n. dynastique des souverains des Tokhâres, 222 s., 229; - tardifs, 28i; inscriptions des -, 386; Kushâno-Sassanides, 227 s., 293. V. Kuéa.

L

Ladakh ou Petit-Tibet, 179; refuge des bouddhistes du N.-O., 3o2; pétroglyphes du -, 39o.

Laghmân ou Lamghân (skt. Lampaka; par étymologie populaire le Lambaka du Divykvadâna, auquel font curieusement écho les Lambagai de Ptolémée, vii, I, 42; le Lan-po de Hivan-tsang), district 'frontière de l'Inde du Nord (v. notamment la carte de la p. 31), 35-6, 50, 149-50, 163, 172, 231, 236, 259, 263; pl. 31; inscriptions et pétroglyphes du -, 386-90 et pl. 37 â 39.

Lakshana (skt., pâli lakkhana) signifie dans le langage courant une « marque ou indice », en style policier un « signe particulier », en matière d'horoscope un « pronostic », en iconographie un « attribut distinctif », et en terminologie scolastique une « définition », 318.

Lalita-vistara, biographie du Buddha jusqu'à la première prédication incluse, rédigée en ski. bouddhique et déjà teintée de Mahâyânisme, 285-6, 289-9o, 30i,

LAMECH, père de No€; sa sydrat au Laghmân (s. v.). 35, 15o, 261 n. 3. (Dans « Mehtar-Lamech ., white est un titre honorifique que porte encore le « chef » indigène du Chitrâl, bien que le mot serve aussi â désigner le palefrenier ou le domestique chargé des plus basses besognes, en anglo-indien « sweeper »; comparez le double sens du fr. maréchal).

Lampaka, v. Laghmân.

Lampes en terre cuite, de l'époque musulmane, trouvées â Balkh, 373, 376; pl. 33.

Lapis-lazuli ou lazulite (p. lâjaward), pierre d'un beau bleu d'azur pointillé d'or provenant des carrières du Badakshân sur la rivière Kokcha (v. la carte de la fig. 13), employée dans la décoration des édifices de Balkh, 97, 104, x67.

Lashgird, village persan, étape sur la route de Téhérân â Meshhed, z66.

Lita ou Lâtaka, la Larikè de Ptolémée, comprenant le port de Barygaza (s. v.) et ayant Ozènè (Ujjayini) comme capitale du Grand satrape Çaka Tiastanès (Cashtana), 226.

LEGRAND (Ph.-E.), cité 195 et 252 n. 2.

Lêkha (skt. de la racine likh, c graver ») du sens de « trait, lettre » a pris celui d'Épître (s. v.), 297.

Lévi (Sylvain), cité 255, 297, 300, 386 et passim dans

les notes.   -

Linga (ski. « marque, signe »), a pris le sens spécial d'emblème phallique de Çiva, 26x, 263, 356; - de pierre, 149, 172; pl. 31 b ; - de glace, 123, 259.

Logar (ancien Locharna), affluent de droite du Kâbulrfid (v. la carte des p. 31 et 51), 146, 158 n. 14, 214, 232, 246-7.

LOKEÇVARA Ou AVALOKITEÇVARA, Bodhisattva (s. y.);