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0231 La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2
La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2 / Page 231 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000237
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INDEX-LEXIQUE

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11, 36, 41, 8o, 177, 192,199, 200, 204 et passim dans les notes.

ARSACÈS, fondateur vers 255 av. J.-C. de la dynastie parthe des Arsacides qui dura jusqu'en 224 de notre ère, 209; cf. 220, 324, 361.

Art (le Gandhâra, terre d'), 348 a.; - d'Açoka, 330-2; - bactrien (mirage de l'), 73 s., 307, 310-2; - irano-indien, 33o s.; - indo-grec, 306 s.; - gréco-bouddhique et gréco-chrétien, 35o.

Aryenne (Immigration) dans l'Inde du Nord-Ouest, 583 s.

Asie antérieure (hellénisation de 1'), 323 s.; - centrale ou Haute-Asie, réservoir de barbarie, 75, 259, 228, 355, 359, 362; son art bouddhique, 338, 343, 345, 348.

Aspasioi du Bajaur et Assakenoi du Svât ne formaient, semble-t-il, qu'une seule tribu avec les Gouraioi; ceux-ci devaient le nom particulier que leur ont donné les Grecs au fait qu'ils habitaient la vallée du Gouraios (I'an jkora) ; l'appellation distincte des deux autres clans se ramènerait à un jeu d'étymologie, selon qu'on la dérivait du v.-p. aspa ou du skt. açva (prdkrit assa),

  • cheval », 208.

ASTES (skt. HAST! ?), roi du Gandhâra, hostile à Alexandre, 205.

Asura (le type de I') dans l'imagination indienne, 267, 269, 361. - L'Asura MAYA, personnification des architectes et artistes iraniens, 33o.

Âsyà ou Âsyàb-é-Qonâk, le . Moulin du Château s, ancien stdpa bouddhique voisin de Bactres, 67, 169; pl. 22 a et b.

Attock (pont et fort d') sur l'Indus, 40, 45-7•

AVALOKITÈÇVARA Bodhisattva, 140, 342; V. Lokéçvara. Avares, envahisseurs barbares, les Jouan-Jouan des Chi-

nois, peut-être les Chionites (s. v.) des Perses, 228. AzEs, roi scytho-parthe, 221, 277.

B

Bibi-Kôh (Darvâzâ-é-), porte méridionale de Balkh par où passait l'ancienne route de l'Inde, 6o, 66, 85, 164,

pl. 6 b; v. Kôh-é-Bâbâ.   •

BABUR (1483-1530), arrière-petit-fils de Tamerlan, fondateur de la dynastie des Grands-Moghols, auteur d'intéressants Mémoires rédigés en turc et traduits par Pavet de Courteille et Mrs. A. S. Beveridge, 14, 28-9 36. 40. 43-4, 8o, 99, 120, 139, 143, 178, 248, 367; enterré

à Kâbul, 145, 366.   •

Bactres (av. Bâkhdhi; v.-p. Bâkhtri; gr. Baktroi; skt. Bâhli ou Bâlhi; phi. Bahl, BaxI, Balx; vulgo Balkh) capitale de la Bactriane; situation géographique, 6, 15-6 74 S. ; plan provisoire, fig. 11, p. 59; prospection archéologique, 55 s., 163 s., pl. 5-26; premières trouvailles, 373 s.; deux fois visitée par Alexandre, 203; objet d'un siège resté fameux, 209.

Bactriane (aujourd'hui Turkestân afghan), décrite 53 s.; population, 224; conquise, puis évacuée par les Grecs, 78, 203-4, 220, 277; avance et recul du bouddhisme, 28o, 301; rôle historique, 361; semble n'avoir jamais été une terre d'art, 73 8., 307, 310-2.

Bâdpash (col de), ainsi nommé à cause du vent (bluff) qui y souffle constamment (cf. Ch. MASSON, Travels, ni, 299), 34-5; vestiges archéologiques, 149,

Bajaur, région montagneuse du Yâghistân, habitée jadis par les Aspasioi (s. v.) et aujourd'hui par les Mohmands, située entre les vallées du Kunâr et du Svât (v. la carte de la p. 39), traversée par Alexandre, 208, 26o; antiquités, 273, 277, 3o8. 334.

Bâlâ-hisâr (p. litt! le Haut-Fort) de Balkh, 6o, 72-3, 163 s., 167, 209; pl. 8 b, 9-10 e, 18 a; fouilles, 1o9-io; premières trouvailles, 376-7; - de Kâbul, 8x, 145.

Bâmyân (phi. Bâmlkân, les Éclatants dans Bundeh. xx, 22; eh. Fan-yen-na), vallée située entre la chalne centrale de l'Hindùkush au Nord et celle du Kôh-é-Bâbâ au Sud, à une altitude voisine de 2.5oo m. (v. la carte de la p. 133); passe et route, 24 s., 47-8, 203-4; antiquités, 26, 529 s., 342, 365, 386.

BARDESANE, écrivain gnostique du ne siècle, né à Edesse, 293, 297.

Barhut (Bârahat, souvent écrit Bharhut), sHtpa de l'Inde centrale dont une partie de la balustrade sculptée, conservée au Musée de Calcutta, représente avec celles de Bodh-Gayâ et du stûpa n° 2 de Sâfichl les plus anciennes productions parvenues jusqu'à nos jours de la • Vieille école s d'art bouddhique, 295-6, 316, 331, 336, 360.

BARMAK ou BARMEK, n. donné par les écrivains arabes à l'ancêtre des fameux vizirs des Khalifes de Bagdad, Khaled, Yahia et Jafar, qui furent en faveur de 75o à 803 et que nous appelons les Barmécides; nous proposerions de voir effectivement dans ceux-ci les descendants du dernier surintendant (Navakarmika ou Karmika) du Nava-vihâra (s. v.) de Balkh; la forme musulmane s'expliquerait dans le premier cas par une abréviation consécutive à la chute de l'explosive intervocalique, dans le second (ainsi que nous l'a fait. remarquer M. J. Bloch) par une confusion livresque entre kar et bar dans l'écriture ar.; 84-5, cf. 55.

BARTHOUX (J.), membre de la Délég. arch. franç. en Afgh. et auteur des t. IV-V de ses Mémoires, 145, 150, 172, 383, 386-7 et passim dans les notes. V. Hadila.

Barygaza (transcr. gr. du skt. Bhagukaccha, Bharukaccha, auj. Bharoch ou Broach, dans le pays de Lariké = Lâta), port fluvial de la côte occidentale de l'Inde à l'embouchure de la Narmadâ (auj. Narbada) dans

le golfe de Cambaye, 7, 211, 221.   •
Bauddha (m. skt. dérivé du nom du Buddha et désignant ses sectateurs), bouddhiste, 313, 321.

Bénir (p. marché »), 6 et passim ; populairement appliqué à des rangées de cellules dans d'anciens couvents bouddhiques en souterrain de l'Afghânistân, 128.

Blgrkm, terme afghan désignant les sites abandonnés d'anciennes cités; - de Kâpiçi, 140, 144; - de Kâbul, 146; - de Je13.1âbâd (Nagarahâra), 152; - de Peshâwar, 158 n. 14.

Bima (gr. ■ chaire s) ; culte de la chaire vide de Min!, 295. Bénarès, centre religieux, 259; statues du Buddha de style Gupta, 343; v Sârnâth.

Besnagar (skt. Vidiçâ-nagara), antique ville ruinée près de Bhilsài dans l'État de Gwalior, a fourni l'inscription sur pilier d'Hèliodôros (s. v.) 211, 316, 320.

Bestè (et non Para-bestè, 217 n. 17; peut-être la Bestia