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0246 La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2
La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2 / Page 246 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000237
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INDEX-LEXIQUE

SAMUDRA-GUPTA, le deuxième empereur de la dynastie

Gupta (s. v.), régna C. 330-380, 228.

Sââchl, colline de l'État de Bhopâl dans l'Inde centrale, célébre par ses monuments bouddhiques, 27o, 286,

  1. 319. 331. 336, 348.

SANDRAKOTTOS, V. Candragupta.

Saiigha (ski. c collectivité s), désignation de la a Communauté s des moines bouddhiques. V. le suivant.

Saiùghârâma (skt. sangha-ârâma, litt' a parc de plaisance de la Communauté a), dénomination technique exacte d'un couvent ou monastère bouddhique (v. Vihara), les premières résidences des moines ayant été les parcs offerts par les riches zélateurs a la . Communauté des quatre points cardinaux s aux abords des grandes villes indiennes, 138-9,

  1. 315; — de Bactres, 84; — de Haibâk; 129, 170.

Sailgha{i (skt.) a manteau monastique s qui, drapé par-dessus les deux autres vêtements formait le costume complet en trois pièces (tri-ifvara) des moines bouddhistes,

38o, 382.

Sahri-Bahlol (fouilles de), village situé dans la partie centrale du district de Peshawar entre H6ti-Mardân et

Takht-t- Baht, 340. 346.

Saoshyant (av.), le futur Sauveur des Iraniens, 287. Sarasvatt (skt., av. Harahvaitt s. v.), n. d'une rivière

d'Arach6sie et d'une rivière du Paajâb, 186. Sar-é-Chesmeh (p. « la Tête de la Source s), sanctuaire

musulman à la naissance du Kâbul-rûd, que J. Hackin

a proposé d'identifier avec le couvent de Çânakavâsa

(s. v.), ro, 137 n. ro.

Sarnâth, lieu de la Première prédication du Buddha dans la banlieue Nord de Bénarès, site et dépôt archéologiques de grande importance pour l'art bouddhique,

348.

Sarvâsti-vâdin (skt.), adepte de la doctrine Sarvdstivada, litt' s qui professe la réalité de toute chose s, 84. V. Mûla-Sarvâstivâdin.

SASSANIDES, dynastie persane (ainsi nommée du n. de son ancêtre Sâsân) qui supplanta les Arsacides et régna sur la Perse depuis l'avènement d'Ardeshlr (s.v.) en 224 jusqu'à la défaite de Yazdgard (s. v.) par les Arabes

â la bataille de Nihâvand en 641, 227, 282, 324-5,

342-3, 363, 368.

SATTAGYDAI (gr.; v.-p. llatagu; élam. Saddaku; babyl. Sattagu; cf.Tatakènè, p. 236 n. 12, peuplade du massif central afghan, 196, 201, 232, 235.

SAUBHAGASENA (ski. ■ descendant de Subhagasêna = Celui qui a une armée fortunée s; gr. Sophagasenas),

roi de l'Inde du Nord au début du lia siècle av. J.-C., 209, 217 H. 27.

Sculpture sur pierre (évolution de la) au Gandhâra, 339 s.; emploi ordinaire du schiste, 157. 381; emploi exceptionnel à lladda d'une pierre calcaire, 379, 383.

Scythes, n. générique donné par les Grecs aux tribus nomades habitant la steppe eurasienne, les Sakas des Perses et les Çakas des Indiens, 187-8; — Haumavargas ou Amyrgioi ou Ariaspioi (s. v.), distingués dans l'inscription de Darius Irr i1 Naksh-é-Rustam des Tigrakhaudas, s porteurs de bonnets pointus s et des

Paradrayas, s d'Outre-mer s, (WEISSBACH, Keilinschri/ten, p. 89: corn. Tarao), 187, 198, 201, 216 n. 16.

Seh (p. « trois s); — tôpân, les a Trois-Scapa s, de Kamarl, près du site du vieux Kâbul, 147, 172, pl. 3o e

  • et f; — tût, les « Trois-mûriers s, localité du Turkestân afghan. 43; — Yârân, les s Trois compagnons s, 142-3.

Séistan (v.-p. Sakastâna; gr. Sakastènè; phl. Segestân; cf. les Segestani d'Ammien Marcellin, 218), pays des Scythes Amyrgiens, alias Ariaspes, alias Evergétes, dans la boucle de l'Hêlmand (v. la carte de la p. 197), 187, 209, 227, 374.

SÉLEUCIDES, dynastie fondée par Séleukos ver et qui a régné sur l'Asie antérieure de 3r2 â 64 av. J.-C.; leur rôle hellénisateur, 323-4; leurs rapports avec les Mauryas, 368; ont pris l'initiative de fixer une ère, 341; leur capitale Séleucie, 324, 326, 328.

SENART (E.), cité 27r, 334, 344; lettres et rapports à lui adressés, 55 S., 139 S., 386.

SÈRES, peuple de la Sérique, c.-à-d. de la Chine occidentale, 2r9, 326.

Sérinde, appellation convenue pour désigner la partie de l'Asie centrale où se sont exercées à la fois les influences chinoise et indienne et la distinguer de l'Indo-Chine qui est dans le même cas, 329.

Shâdiân, sur le versant Nord de l'Hindûskush, au-dessus de Balkh, 115, 162; son défilé, son galeh et son double village, 162; pl. 2 c, d et e.

Shehi (orth. ind. Çâlii s. v.), titre • assumé par les rois turcs et hindous du Gandhâra â titre d'héritiers des Kushâns, 245 S., 263, 299, 301, 362, 387.

Shahid (ar. e témoin s, en gr. et en Jr. a martyr s), 34.

Shah-nameh ou e Chronique des Rois s, le grand poème de Firdaust (c. 933-1021), cité 77, 124, 187; cf. 248. -

SHAPßR (p., transcrit en Jr. à travers le lt. e Sapor s, restitué étymologiquement par A. Christensen en « Shâh-puhr = fils de roi s), n. de trois rois Sassanides (s. v.); le premier a régné de 241 A 272 et fut le vainqueur de Gordien et de Valérien, 116. 292, 364, 369; le second (310-379) fut le vainqueur de Julien, 79, 228, 29o, 299.

Shâpûr, ville ancienne de la Perse méridionale où aurait été martyrisé Mânt (s. v.), récemment explorée par M. Ghirshman (s. v.), 116.

Shen. (p.) titre des rois du Gharjistân (s. v.), et aussi de

l'Ethiopie, 232.

Shêvakt, village voisin du site du vieux 146; stapa de —, 147, 172, p1..30 c.

Shotorak (le n. indiquerait un terrain mamelonné par allusion aux bosses du chameau, « shutur s), site d'un monastère bouddhique voisin de Kâpiçl, fouillé et publié par M. J. Meunié (s. v.). 158 n. 8, 283 n. 17.

SIMPSON (W.), cité 150, 152-3, 158 n. 21.

Sindh (province du), sur le bas-Indus, conquise par Darius Ier sous le nom de Hindu, 193-6, 200; puis par Alexandre, 191-2, 199-zoo; par les Indo-Grecs, 210; par les Çaka-Pahlavas, 220; par les Sassanides, 227; par les Hephtalites, 236; par les Arabes, 242-3; et enfin par la Compagnie des Indes britanniques, 366.

Si-pi-to-fa-la-sseu (Sai-pen-ni-lo-se dans les Documents sur les Tou-kiue occidentaux d'Ed. CHAVANNES, p. 77), transcription chinoise d'une ville voisine de Kâpiçl

Kâbul, 143•