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0241 La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2
La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2 / Page 241 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000237
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INDEX-LEXIQUE

407

origine de son culte et sa diffusion dans toute l'Asie orientale, 260, 265, 287.

Lokottara (skt. « supérieur au monde, surnaturel »), épithète appliquée au Buddha par une secte des Mahâ-sânghikas (s. v.), laquelle professait une doctrine analogue à l'hérésie docétiste, 285, 291.

LEDERS (H.), cité p. 341.

LUNE (le dieu), 266. V. C'andra et Mâh.

Lût (Dasht-é-), n. de la partie Sud-orientale du grand désert central du plateau iranien, présentant un degré de dessiccation encore plus avancé que le Kavir (s. v.), 188.

M

Madar (défilé et Kâfir-galeh de), dans l'Hindûkush central, 25, 163; pl. 4 b et c.

Madhya-dêça (skt. « Pays du milieu »), correspondant à la partie occidentale du bassin du Gange, l'Inde brahmanique par excellence, en contraste avec le Magadha à l'Est comme avec le Palljâb à l'Ouest, 284, 33r, 359.

Madrasah (ar. et p. « Collège universitaire ») de Balkh, 66, 17o; pl. 24 c et d.

Magadha, dans la région Sud-orientale du bassin du Gange; le pays bouddhique par excellence d'où son surnom musulman de Bihâr (écrit aussi Behâr) à cause du nombre de ses couvents (vihâra s. v.), 268-9, 330, 362.

Mage (av. mogu, v.-p. magu, gr. magos, !t. magus), membre du clan sacerdotal de l'Irân, 84, 282, 290 292, 299-300; brahmanes-mages de l'Inde, 264, 266, 268 n. 7, 315, 36o. V. mobed.

MAx (n. v.-p., phl. et p. du dieu de la Lune, sur les exergues des monnaies « Mao »; skt. mas), 266.

Mahâbhr'îrata, la grande épopée et encyclopédie brahmanique, 187, 264.

Mahâ-sânghika (skt. a Ceux de la grande assemblée »), n. d'une des principales sectes du bouddhisme à laquelle appartenaient les Lokottara-vâdin, 285.

$lIâhâtmya (skt. littt la « magnanimité »), employé dans un sens spécial pour désigner des sortes de guides de pèlerinage, magnifiant les vertus particulières de chaque place sainte de l'Inde et exaltant la divinité qui y est spécialement adorée, 132, 254.

Mahâva»nsa (littt- « la Grande Généalogie »), chronique de Ceylan rédigée en pâli au ve siècle par le moine Mahânâma, 27o. V. va,nça.

Mahâydna (skt. ordinaire traduit depuis E. Burnouf par I Grand Véhicule », et désignant, par opposition au Hinayâna ou « Petit Véhicule » le néo-bouddhisme, 285; Mahâyâna-çraddhotpâda (date du), 291; Mah£y£nisme, 284 s., 303.

MAHEÇVARA (skt. littt « le Grand Seigneur »), 258, 278; v. Çiva.

Mâhlçvara (skt. dérivé du précédent par allongement de la première voyelle), « sectateur de Çiva, çivaïte », 316, 356; cf. 2S9 et 278.

MAHMÛD de Ghaznl (Sultan), le premier dévastateur musulman de l'Hindûst£n, né en 968, régna de 997 à 1030,

29, 248, 365, 387.

MAHOMET (orth. Jr. du n. du prophète de l'Islam), couronne sa carrière par la prise de la Mecque en 63o, l'année

même où Hivan-tsang arrive dans l'Inde, 134, 237. Maffia (en skt. çârikâ = gracula religiosa), sorte d'oiseau parleur noir, à bec jaune, assez semblable à notre merle, 36.

MAITREYA (le Bodhisattva), destiné à renaître en qualité de Buddha du prochain won, 286-7, 343.

Makara (skt. « monstre aquatique s ; cf. hind. maggar, « crocodile »), traité comme motif d'ornementation dans l'art indien, 332.

Makrân ou Mekrân, région côtière de la mer Érythrée (s. v.) dans le Belûchistân actuel (v. la carte de la P. 249), 242, 250.

Maktdb (ar. « école », où l'on apprend l'écriture, équivalent du skt. Tipi-çâlâ), 145.

Manas (skt. « Sens interne » percevant le plaisir et la douleur et intermédiaire obligé entre les cinq sens externes et l'âme connaissante), 317.

Mânavaka (skt. « jeune homme », particule jeune brahmacarin ou étudiant brahmanique), 383.

Mandrâwar, localité du Laghmân, sise sur la rive droite des rivières réunies d'Alishang et d'Alingar (voir notamment la carte de la p. 204), site probable de la Nicée d'Afghanistan, 35, 15o, 205.

MANI (gr. Manès), le prophète iranien du Iii« siècle (c. 215-276), 293 s., 297, 327.

Manichéisme, doctrine du précédent, 294 s., 305 n. 23. 369. Mânikyâla, sldpa de forme ancienne (voisin de la station du North-Western Railway) marquant la place supposée

d'un jâtaka (s. v.) du Buddha, 272, 279, 332, 364; couramment identifié dans les garnisons anglaises du Pafjâb avec le tombeau de Bucéphale, 46.

MAAJUÇRî (le Bodhisattva), 288 et 304 n. 5.

MARA, V. Kâma. Démons de l'armée de —, 346, 349, 381. MARCO POLO, V. POLO.

Mard-é-kar (p. littt « homme de travail » ou, comme nous disons, « homme de peine »), 99. V. mazddr.

Margiane (v.-p. Margu, auj. oasis de Mery dans la vallée du Margos, le Murgh-âb actuel:v. la carte des p. 13

et 197), province ordinairement rattachée à la Bactriane qu'elle séparait à l'Ouest de la Parthie, 15, 196, 209, 252 n. 2.

MARSHALL (Sir John), ancien Directeur général du Service archéologique de l'Inde, 42, 155, 307-8, 325, 331, 338, 345-6, 349, 378, 381-2, 385 et passim dans les notes.

Mashak (assyr. ma.riku; aram. et v.-p. maska; p. mashk, « outre de cuir »); le m. est emprunté aux langues

sémitiques et l'emploi de l'objet comme flotteur, déjà figuré sur les bas-reliefs assyriens, est mentionné dans les inscriptions de Darius Ier (Weis.sbach, p. 25), 172; cf. p. 16 (et non 36).

Masjid (ar. « mosquée »); — é-Sabz, « la Mosquée verte » de Balkh, 62, 66-7, 169, 374; fig. 17 et pl. 23 et 24;

autres mosquées de Balkh, 66, 17o, fig. 12, 14, et pl. 25, 26 b; 105, fig. 28. Jâmi` — ou Grande mosquée du Vendredi à Hérât, 10, 16r.

Massaga, capitale (encore à localiser) des Assakéniens (s. v.), 208.

MASSON (Ch.), explorateur anglais de l'Afghanistan au