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0230 La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2
La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.2 / Page 230 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000237
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INDEX-LEXIQUE

listhéne a-t-elle été lue dans l'Inde médiévale, 300.

Alexandrie, n. de nombreuses villes fondées par Alexandre;

  • d'Égypte, 218 n. 32, 326; les quatre - (l'Afghanistân, 200, fig. 4; - d'Arie, 9, 200, 213, v. Obeh;

  • de Drangiane (Prophthasie), 200, 202, 213, 275;

  • d'Arachôsie, 200, 202; - SOUS Caucase, 203, 212-4.

'Ad, cousin et gendre du Prophète Mahomet, 4« khalife . de 656 à 661, assassiné à Kufa (Mésopotamie); sa prétendue tombe à Mazâr-é-Sharif, 162 (pl. z a et b), 266; sa légende afghane contaminée de traditions bouddhiques, 13o-2.

'All-Masjid, colline et fortin au milieu de la passe du Khaiber, 44, 156.

AMAN-ULLAH KHAN, fils de l'Émir Habib-Ullâh et de la première reine, né en 189o, monte sur le trône en 1919, fait reconnattre l'indépendance totale de son pays (1921), en entreprend la modernisation, fait un voyage assez retentissant en Europe (1927), mais doit abdiquer en janvier 1929, 20, 29, 53, 57, 145, 391.

Amarâvati (introduction du répertoire gandhârien dans la décoration du stdpa d'), 336-7.

Amarnâth, lieu de pèlerinage çivaite dans les montagnes du Kaçmir, 123, 137 n. 2, 259.

AMITI BHA (origines iraniennes du culte du Dhyâni-Buddha), z88.

AMMIEN MARCELLIN, historien latin (ive siècle), cité 228 326.

Amshaspands (av. Amashaspenta, phi. Amahraspand), génies mazdéens du Bien, 288, 343.

Amyrgiens (v.-p. Haumavarga), v. Scythes.

ANAHITA (« la Sans-tache.), ANAHID, ANAITIS, alias NANAIA, dite l'Artémis scythique, 76-7, 8o, 266.

Andar-ab (rivière et vallée de 1'), 22, 136, 168, 203, 234, 250, 254; pl. 3 b et c.

Anelertln, m. p. désignant la cour et les appartements

« intérieurs », le gynécée d'une maison, 118; cf. blydnf. Andkhoi, ville du Turkestan afghan, 15, 2o9; serait-elle

une ancienne Antiochia, 217 n. 26.

ANTIALKIDAS, roi indo-grec de la dynastie d'Eukratidès, règne du Kapiça à Taxila aux environs de l'an Ioo av.

J.-C., 211, 320-1.

Antioche de l'Oronte, capitale séleucide, 324, 326.

ANTIOCHOS III le Grand (223-186 av. J.-C.); son expédition dans le Moyen-Orient, 209-210, 213, 354.

Aornos (ski. âvarana, « enclos fortifié .), nom donné par les Grecs aux places de refuge des populations du N.-O. de l'Inde; - voisin de Bactres, 116, 203; - sur l'Indus, 2o6, 208.

Apârsén (av. Upairisaena; v.-p. Uparaesana; cf. gr. Parsiana et ch. P'o-lo-si-na), n. phi. de la grande chalne afghane, 193, 234.

APOLLODOTOS, roi indo-grec de la dynastie euthydémide, 2I0-1.

APOLLONIOS de Tyane, théosophe grec, mort en 97; dans le récit de son voyage dans l'Inde le rhéteur Philo-strate (n1« siècle) a utilisé la relation de son compagnon Damis, 42, 107, 221-2, 264, 289, 292, 327.

Aq-robat, « le Caravansérai blanc ., a donné son nom à une passe de l'Hindûkush, z6, 130, 136.

Arabes (les Ta-che des Chinois), leurs conquêtes indoiraniennes, 24o s.

Arachôsie (av. Harahvaiti s. v.; v.-p. Hara(h)uvati; ar. Arrukkhâj), correspond à l'antique «Inde blanche* et à la

province moderne de Kandahar; aryanisée en même

temps que le Pan'jâb, 185-6, 357; traversée par Ale-
xandre, 201-2; rétrocédée à Candragupta, 208; recon-

quise par les Indo-Grecs, 210; reprise par les Parthes, 221; demeurée persane, 236-7; envahie par les Arabes, 242, 244; disputée entre Séfévis et Grands-Moghols, 366.

Araméennes (écriture et inscriptions), 360, 384-5. Archeh, « genévrier . (le sens exact de ce m. a échappé à

M.. L. Bogdanof, s. v.), 22; employé pour armer la

maçonnerie, 1o7, 166; pl. 15 a.

ARDESHIR, premier monarque de la dynastie des Sassanides (226-240), 227, 293.

Ardha-ndrf (ski.), nom donné aux statues mi-masculines et mi-féminines qui combinent verticalement les images de Çiva et de son épouse Pârvati, 338.

Arg (p.; cf. gr. akra et B. arx), « citadelle .; - de Bactres 60, 73; fig. 26, pl. 5 a, 7-8; les fouilles, 98 s., 163 's.; fig. 27-9, pl. 11-7; les premières trouvailles, 374 s., pl. 33; - de Bâmyân, 134; - de Kâbul, 545.

Arghand-ab (ainsi nommée à cause de la violence de son courant ?), rivière de l'Arachôsie (s. v.), dont l'ancienne route de la Bactriane au Sindh suivait la vallée, 202, 231, 235-7, 355.

Argkavân (n. sémitique de la pourpre), n. p. de l'arbre de Judée, ainsi nommé à cause de la couleur pourprée de ses fleurs, 28; cf. 142-3.

Arhai (ski.), « vénérable *, terme honorifique appliqué à ceux qui avaient atteint le quatrième et plus haut

degré de sainteté dans la Communauté bouddhique,

85, 287; correspond à l' « Élu . des manichéens, 295• Ariane (le v.-p. Aryânam 7saOram est devenu en phi. arsacide Âryân et en phi. sassanide Érân), n. gr., remon-

tant à Eratosthène (fin du 111e siècle av. J.-C.), d'une

région limitée d'après Strabon à l'Est par l'Indus, au Sud par l'Océan Indien, au Nord par les Paro-

pamises et à l'Ouest par le grand désert qui la séparait

de la Médie et de la Perse; elle embrassait par conséquent toute la partie orientale du plateau iranien à

l'exclusion de la Bactriane; le terme est employé de façon assez imprécise tant dans les pages qui précédent (188, 355), que dans l'Ariana antiqua de H. Wilson (mentionnée vi, 175, 213).

Ariaspioi (transcription gr. d'un m. v.-p. âryâspa, correspondant au ski. âryâçva, « qui a de nobles ou excellents chevaux); ce sont les mêmes que les Scythes dits Amyrgiens ou Evergètes (s. v.), 201; leur capitale Ariaspè mentionnée par Ptolémée, 216 n. 52.

Arie (av. Harôiva; v.-p. Haraiva; gr. Areia, à distinguer de l'Ariane s. v.), correspondant à la province moderne d'Hérât et arrosée par l'Héri-rad (gr. Areios), 208, 213, 236; sa capitale Artakoana, 9, 200.

ARRIEN (FLAVIUS), homme d'État et historien du 11e siècle, dont l'Anabasis et l'/ndikè sont fréquemment cités.