国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Voyages d'Ibn Batoutah : vol.3 | |
イブン=バットゥータの旅 : vol.3 |
D'IBN BATOUTAH. 187
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« C'est Dieu qui me l'accordera. » Cette parole effraya son père, qui le redouta. Le sultan fut ensuite atteint de la maladie dont il mourut. Or la femme dont il avait eu son fils Khidhr khân , et qui s'appelait Mâh Hakk (le mot n,âh, dans la langue de ces peuples, signifie la lune), avait un frère nommé Sindjar, avec lequel elle convint d'élever au trône Khidhr khan. Méfie Nâïb, le principal des émirs du sultan , et que l'on appelait Alalfy, parce que ce souverain l'avait acheté pour mille (alf) tangah, c'est-à-dire pour deux mille cinq cents dinârs du Maghreb, Mélic Nâïb, dis-je, eut connaissance de cet accord, et le dénonça au sultan. Celui-ci dit à ses familiers : « Quand Sindjar entrera dans la chambre où je me trouve , je lui donnerai un habit; et lorsqu'il s'en revêtira, saisissez-le par les manches, renversez-le contre terre et égorgez-le. » Cela fut exécuté de point en point.
Khidhr khân était alors absent, et se trouvait clans un endroit appelé Sar4dabat (Sonpat) , à la distance d'une journée
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