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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 |
160 TCHONG KING SIUAN TSA P'I YU KING (N°' 210-220).
la conclusion est la même que dans les deux autres récits précités.
Iconographie : Bharhut (Cunningham, XLVII, 3).
Hien yu king (Trip. , XIV, 9, p. 57 vo; manque en tibétain) : un çrâmanera a un maître qui le punit sévèrement quand il n'a pas suffisamment étudié; or, le temps qu'il peut consacrer au travail est en raison inverse de celui qu'il a dû employer à quêter; un bienfaiteur, qui le voit s'affliger, l'engage à venir chez lui, en lui promettant de lui donner les aliments dont il a besoin ; le çrâmanera peut alors donner tout son temps à l'étude et son maître est satisfait de lui. Le maître, c'était Dîpamkarabuddha; le çrâmanera, c'était le Buddha lui-même; le bienfaiteur, c'était Ananda.
T'ien tsouen choux a yu zvang p'i yu king. (Trip. , XXIV, 8, p. 66 v°).
Kotisimbali jâtaka (Jâtaka, n° 412), où le grand arbre a peur que les excréments de l'oiseau ne contiennent une semence de l'arbre Nyagrodha. Cet arbre pousse comme parasite.
XX, 2, 3 9b.
Iconographie : Brique émaillée de Pagan (Grünwedel, Buddhistische Studien, fig. 34).
N° 215.
Chacal révélant le trou du puits : cf. Sûtrâlamkâra, p. 51, et Mille et une nuits, voyage de Sindbad le Marin au pays où l'on enterre les maris avec leurs femmes.
N° 220.
Hien yu king (Trip. , XIV, 9, p. 38 v0-39 r°); ce récit fait défaut
dans la version tibétaine traduite par I.-J. Schmidt, Der Weise und der Thor.
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