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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 |
KING LU YI SIANG (N°' 477-487). 239
Pour le bâton qui frappe tout seul, cf. n°` 277 et 470.
Tch'ou yao king ( Trip. , XXIV, 5, p. 5o r°-v°).
Sûtrâlamkâra, trad. Huber, n° 83, p. 451-454.
Le thème du reflet qui fait croire à une fille laide qu'elle est belle se retrouve dans les pays gaéliques et à Madagascar; cf. Cosquin, Les contes indiens et l'Occident (dans Revue des traditions populaires, t. XXVIII, Sept. 1913 7 p. 399-4 0 9)
Ta tche tou louer (.Trip., XX, 1, p. 78 r°-v°); — Mi cha sal pou ho hi mou fen lu (Trap. , XVI, 2 , p. 11 Vo); — Vie de fiivan-tsang, (trad. Julien, p. i 34), et Mémoires (id., t. I, p. 360).
Tittira jâtaka (.lâtaka, n° 37).
Iconographie : Brique émaillée de Pagan (Grünwedel, Bud- dhistische Studien, fig. 64).
Cheng king (7rip., XIV, 5, p. 46b-47a).
N° 487.
Ken pen chouo yi ts'ie yeou pou pi tch'ou ni p'i nai ye (Trip., XVI, 10, p. 85 v°-86 r°) : un orfèvre, après sa mort, est né sous la forme d'une oie sauvage; pour venir en aide à sa fille qui est dans la pauvreté, il lui apporte à plusieurs reprises des perles précieuses; la jeune fille se dit que, puisque cette oie lui laisse une
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