National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
| |||||||||
|
Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 |
TSA PAO TSANG KING (N°' 418-420). 221
Tsa pao tsang king ( Trip., XIV, i o , p. 3 8b, traduit dans T'oung Pao, 190117p. 497-499), cité dans XXVVI, 4, 71b-72*. — Ts'i . fo pa p'ou sa so chouo t'o lo ni chen tcheou king (Trip., XXVII , 7 , p. 22b) col. 16).
Iconographie : la peinture de Li Long-mien (i o8 i) dont le Musée Guimet possède une copie publiée en 19o4 sous le titre : La légende de Kouei tseu mou chen : peinture de Li Long-mien (cf. T'oung Pao, 1 y o 11, p. 49o-499). -- Dans l'art hindou, on n'a encore signalé aucune représentation de cette légende. Il semble toutefois, comme me l'indique M. Foucher, qu'à Ajanta il y soit fait allusion; si nous considérons la planche VI de l'ouvrage de J. Burgess intitulé Notes on the Bauddha Rock-Temples of Ajanta (Bombay, 1879), nous voyons au centre Hâritf assise à la droite de son époux Peeika et tenant sur son genou gauche replié son fils favori Pingala pendant que les autres fils jouent aux pieds de leur mère; dans le coin supérieur de droite, on voit Hâritf, , sous sa forme démoniaque , réclamant son fils au Buddha auquel, dans le coin supérieur de gauche, elle rend hommage en compagnie de son enfant retrouvé.
N° 418.
Ce texte a déjà été traduit par Takakusu, Chinese translations of the Milinda panho (J.R.A.S., 1896 , p. 17-21).
L. A. Waddell a cherché à établir que le roi Nan-t'o n'était peut-être pas identique au roi Milinda du Milindapanha, et qu'il ne pouvait pas être le roi Ménandre (J.R.A.S., 18 97, p. 227- 237). - Cf. Pelliot, Les noms propres dans les traductions chinoises du Milindapanha, J. As., 1914, II. p.. 379-42 o .
T. III, p. 126.
Cf. Panëatantra, livre V, premier conte.
N° 420.
Iconographie : Boro-Budur, voir A. Foucher, B.É.F.E.-0., 19o9, p. 2 3-3 3 et fig. 12-20.
|
Copyright (C) 2003-2019 National Institute of Informatics and The Toyo Bunko. All Rights Reserved.