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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 |
230 KING LU YI SLANG (N°' 443-453).
N° 443.
Légende de l'origine des Licchavis.
Spence Hardy (Manual of Buddhism, p. 2 3 5 , n° 2) cite, d'après le Pûjâwaliya (mile siècle), une tradition très rapprochée de celle-ci; mais il dit que le garçon et la fille se nourrissent en suçant leurs propres doigts d'où ils tiraient du lait. S'il n'y a pas là une simple erreur de traduction de Hardy, la leçon de ce texte serait moins bonne que celle de la version chinoise, car l'allaitement par le pouce du père adoptif ou du père véritable est un trait de conte; voyez les exemples réunis par Em. Cosquin dans son savant mémoire : Le lait de la mare et le coin flottant (Revue des questions historiques, avril, 1 9 0 8 ). [Hertel , Z. D.M. G., 1911, 439.]
Sur la tradition relative à l'origine de Vaiçâlt, voyez les notes concernant notre n° 43.
Fa-bien, trad. Legge, p. 73.
N° 447.
Tch'ou yao king ( Trip., XXIV, 6, p. 2 7 r°-v°).
N° 450.
Cf. le n° 458.
Ce récit est tiré du Cheng king (Trip., XIV, 5 , p. 52a-52b) qui est bien antérieur au King lu yi siang; il aurait donc mieux valu le faire figurer à la page 2 0 2 du tome II.
Bâveru jâtaka (Jâtaka, n° 339 ).
Barlaam et Josaphat (Kuhn, p. 31; Joseph Jacobs, p. cxxxii).
Cf. notre n° 342.
Ken pen chouo yi ts'ie yeou pou p'i nai ye p'o seng the (Trip., XVII, 3, p. 52 v0-53 r°); c'est le texte traduit du tibétain par Schiefner (= Ralston, Tibetan Tales, p. 253-25 6 ).
Ta tche tou Touen (Trip. , XX, 1, i o 7 a-b ).
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