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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 |
LIEOU TOU TSI KING (N°' 63-68). 129
intelligence aux deux autres. Voyez Mahdbadrata, XII, adhy. 137 ; Idtaka, n° 1 1 A.
No 63.
Cf. n° 29.
XXXVI, 1, 1 th, col. 1 et suiv. — XXXVI, b, 67".
Hien yu king (Trip., XIV, 9, p. 61 v°; texte absent de la rédaction tibétaine) : Au temps oû le roi Brahmadatta régnait à Vârânas4, il y avait dans le royaume un grand sârthavâha (chef de marchands) nommé Le-na-cil/lie (Ratnajaya); le sârthavâha voit un jour un homme qui va se pendre de désespoir parce qu'il est dans une misère trop affreuse; il s'engage à payer ses dettes; mais il se ruine complètement en exécutant sa promesse. Il s'embarque alors avec cinq cents marchands pour tâcher de reconstituer sa fortune. Thème du bateau retenu par sept cordes dont on coupe une chaque jour. Survient une tempéte qui brise le navire. Cinq hommes, qui sont restés avec le sârthavâha, le prient de les sauver; il se fait tenir par eux au-dessus de la mer et se perce d'un glaive. Les cinq hommes sont sauvés. On ne dit pas que le sârthavâha ait été ramené à la vie.
Récit analogue dans le Ta pei king * g , { , cité dans XXXVI, 1 , p. 6 12. — Cheng king, t 6 , chap. I, cité dans XXXVI, 9, 1 o8'.
No 68.
Sûtrdlarriktira (trad. Huber, p. 84-90 : l'avarice du roi Nanda). Cf. XXXVI, hi, 5o' : un homme et sa femme, avant de mourir,
avalent chacun cinquante pièces d'or g x - a.
IV.
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