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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.4 |
216 TSA PAO TSANG KING-(N° 411).
sa fiente sur la tete du roi. Cela concerne un fait qui se passera entre le roi et l'épouse Çântâ.
Schiefner a montré le rapport étroit qui existe entre ce récit bouddhique et l'tt histoire d'Iladh, Béladh, Irakht et le sage Kibarioun» dans le Kalilah et Dimnah, éd. de Sacy, chap. xlv; Knatchbull, p. 31 4-338; ancienne version syriaque, Bickell, p. 95-1 i 3 ; nouvelle version syriaque, Keith-Falconer, p. 2 192L 7. — Pour la comparaison critique des textes, voir Benfey, introduction au Kalilag und Damnag, p. L-LxI; Nöldeke, Z.D.M.G., XXX, 18 7 6 , p. 7 5 7 ; Keith-Falconer, Kalilah and Dimnah,
p. 3 o 2-3 o5. -- Pour la bibliographie, voir Chauvin, II, p. 1 o3- 04.
Le thème du roi qui obtient d'un saint homme une explication favorable de rêves , en apparence funestes, se présente à nous sous trois formes principales. La première est celle que nous avons ici ( no fi 1 1) et qui met en scène Mahâkâtyâyana et le roi Pradyota. Le seconde est celle qui a pour héros le roi Krkin et le Buddha Kâçyapa; le texte sanscrit de ce récit se trouve dans le Sumetgadhdvaddna et dans le commentaire de Yaçomitra sur l'Abhidharma koça; cf. S. d'Oldenburg, The Buddhist sources o~ f' the (old slav.) legend of the twelve dreams of Shaha sh (J.R.A.S. , 18 9 3 , p. 511-512 ), et Tokiwai (Studien zum Sumâgadhewaddna (Darmbtadt, 18 9 8 ); on n'a pas retrouvé jusqu'ici en chinois une liste de rêves semblable à celle qui est fournie par le Sumâgadhewadetna. En troisième lieu, le sûtra des dix songes du roi Prasenajit qui sont expliqués par le Buddha :
. Un éléphant, sortant par une petite fenêtre, y reste accroché par sa queue.
Une source court après un homme assoiffé.
Un boisseau de perles est vendu pour une mesure de gruau".
h. Du santal est vendu au prix du bois ordinaire.
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