国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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La Vieille Route de l'Inde de Bactres à Taxila : vol.1 | |
インドからバクトリアのタキシラに到る古道 : vol.1 |
LES ANTIQUITÉS DE BÂMYÂN
étude nouvelle, nous reproduisons ci-dessus (p. 123 et suiv.), en y joignant des reproductions photographiques, le rapport que nous avons alors adressé à Paris, bien qu'il ait déjà paru, mais sans planches annexes, dans le Journal Asia_ tique (juillet-sept. 1924, p. 139-153).
(P. 123). Des photographies de la grotte de KaçmirSmats et de celle d'Amarnâth ont été publiées dans le Tour du Monde, nouv. série, V, 45 (oct. 1899), P. 483-487 (cf. Sur la Frontière indo-afghane, Paris, 19oi, p. 87 et suiv.) et XI, I (janv. 5905), p. 40-48.
(Do). On trouvera le résultat de ses observations dans le t. II des Mémoires de la Del. arch. fr. en Afgh. (Paris, 2928), p. 65-74 et pl. 41-43 (cf. l'ouvre de la Del. arch, fr. en Afgh., T8ky8, 1933, p. 51-56).
(P. 124). V. Al. BURNES, Travels', I, p. 176; J.-P. FERRIER, Voyages', I, p. 403. En revanche, nous avons constaté depuis que W. MooxcROi-r (Travels, II, p. 402-7) a visité et décrit les grottes et le takht de Haibâk. Il en a même fait autant pour les grottes dites Hazâr-Sum (ibid., p. 420), situées à quelque distance de la route entre Haibâk et Ghaznigâk et qui ont été depuis (juin 2924) examinées sans résultat par M. J. HACKIN (l'OEuvre de la Délég. arch. fr. en Afgh., p. 57).
(P. 229). Voyez également Études Asiatiques (Paris, 2925), t. II, p. 287 et l'(Buvre de la Del. arch. Jr. en Afgh.,
p. 19 et suiv.
(P. 13o). Nous avons lu depuis dans Ch. MAssoN (Narrative of various journeys, t. II, p. 357) la description
ET DES VALLÉES ADJACENTES 137
d'une autre formation géologique analogue, mais moitié moins longue, et située dans le voisinage des sources du Logar : elle est également considérée comme un Ajdahâ et la similitude des détails est frappante.
(P. 133). Remarquons-le en passant, la phrase de Hivan-tsang implique qu'il s'est surtout placé, tout comme ses informateurs, au point de vue des marchands venant de l'Inde; mais il va de soi que ceux qui arrivaient de Bactriane avaient les mêmes raisons de rendre grâces aux esprits de la montagne, qu'ils eussent ou n'eussent pas couru de dangers. dans la traversée des passes.
(P. 135). Cf. Antiquités bouddhiques de Bdmiydn, fig. r, pl. IV, V et VII a, etc.
(Dl). Cf. ibid., pl. II.
Io. (D°). Dans une communication, restée inédite, à la Société Asiatique de Paris, M. J. Hackin a proposé de placer le site du couvent de Çârakavâsa encore plus loin de Bâmyân, près du bassin (toujours peuplé de poissons sacrés) d'une des sources de la rivière de Kâbul à Sar-éCheshmeh, et par conséquent sur le versant oriental de la passe d'Unai (cf. supra, p. Io). Ce serait en se rendant de ce couvent à la capitale du Kapiça par un sentier toujours pratiqué à travers les montagnes de Paghmân que, comme il est raconté dans sa Biographie, le pèlerin, assailli par un orage, se serait égaré. (L'hypothèse est plausible ; mais hélas, son inventeur n'est plus là pour exposer les éléments de sa démonstration, et nous ignorons si celle-ci se retrouvera dans ses papiers.)
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