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国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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| Histoire Générale de la Chine : vol.1 | |
| 中国史概説 : vol.1 |
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引用情報
| 272 HISTOIRE GÉNÉRAL | E DE LA CHINE |
plus grande tranquillité et sont à la guerre et à l'usage des arme
qu'aiment par dessus tout les h
quilles, ils n'inquiètent aucun de le climat est agréable et sain, l'air
d'une douceur exquise; les forêts ob
breuses; en arrosant fréquemment ce
chent, en l'amollissant, un produit ten
duvet imprégné de liquide ; ils tissent c
le Sericum (tissu) réservé jadis aux c porté aujourd'hui indifféremment par
Ils sont si modérés dans leurs besoins et
la vie paisible qu'ils évitent toute relatio
hommes. S'il arrive que des étrangers passe
acheter des fils ou quelque autre article de estiment à vue le prix des marchandises,
une parole ; et les (Seres) sont si simples dan
qu'en livrant leurs propres produits, ils n'
retour aucune espèce d'importation » . Nou multiplier ces citations.
REINAUD 1 prétend que « les relations politiques et commerciales de Rome avec l'Inde, la. Bactriane et la Chine eurent lieu, en général, par mer et par l'intermédiaire de l'Égypte et commencèrent l'an 36 avant J.-C., à l'époque où le triumvir MARC-ANTOINE gouvernait l'Égypte et les autres provinces orientales de l'Empire, de concert avec CLÉOPATRE. Elles furent reprises par AUGUSTE vers l'an 20 avant notre ère, et elles se maintinrent pendant plusieurs siècles ». Ce serait par l'intermédiaire d'un certain LYCOTAS qui visita deux fois Bactra, la capitale de la Bactriane, qu'Antoine aurait commencé ses relations avec ce pays, route de la soie, produit de Chine. Reinaud fait grand état du passage suivant de FLORUS, qui vivait à la fin du pre mien siècle après J.-C., cet historien_ nous raconte en effet que sous Auguste : « l'on vit les Scythes et les Sarmates envoyer des ambassadeurs pour demander notre amitié;
1. Relations politiques et commerciales de l' Empire romain avec l'A sie orientale, p. 23.
4;
11
complètement étrangers s ; comme le repos est ce
ommes calmes et tran
leurs voisins. Chez eux
ur, l'haleine des vents
scures sont fort nom
s arbres ils en déta
dre et ténu, sorte de
es fils pour en faire
lasses nobles, mais
les plus humbles.
aiment à ce point
n avec les autres
nt le fleuve pour
commerce, ils
sans échanger
s leurs goûts,
appellent en
s pourrions
ti
~.:.~e..~.
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