国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Voyages d'Ibn Batoutah : vol.4 | |
イブン=バットゥータの旅 : vol.4 |
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étaient atteints succombaient dès le second ou le troisième jour. Si leur trépas était retardé, ce n'était que jusqu'au quatrième jour. Quand je sortais, je ne voyais que malades ou morts. J'achetai en cette ville une jeune esclave, sur l'assurance qu'on me donna qu'elle était saine; mais elle mourut le lendemain. Un certain jour une femme, dont le mari avait été au nombre des vizirs du sultan Ah bau Châh, vint me trouver, avec son fils âgé de huit ans, et qui était un enfant plein d'esprit, de finesse et d'intelligence. Elle se plaignit de son indigence, et je lui donnai, ainsi qu'à son fils, une somme d'argent. Tous deux étaient sains et bien constitués; mais dès le lendemain la mère revint, demandant pour son fils un linceul , car il était mort subitement. Je voyais dans la salie d'audience du sultan , au moment de sa mort, des centaines de servantes qui avaient été amenées afin de broyer le riz destiné préparer de la nourriéure pour d'autres personnes que le souverain ; je voyais, dis-je, ces femmet qui, étant malades, s'étaient jetées par terre , exposées à l'ardeur du soleil.
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