国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
| |||||||||
|
Voyages d'Ibn Batoutah : vol.4 | |
イブン=バットゥータの旅 : vol.4 |
420 VOYAGES
(0 .4 ‘sl.c (" t3j L
rg.2
6i4.k.soJ~a..~~.~
~-ß i crA J`yj Û i i J.sfl
vK (LTJ31 Y ~ WA? uL4..3
4;.-eo 3-03 •c.::4J1:;'iS,akAD Leyd LeM;I.d
U~~~ ~c.,o~,,~c. ~. 3 ~.! i Çl~ i v~t' i 1:0:s .7s:Lito )4
w w w w
àc.~o t~`~ cÿ;~ aC~wo ts~~ i ~ ls~i tc;).st; C.M ä,1~3 I,v j■R—.+ C14• (2)-ey?- kev sTj,-.0,V l~j ~UC+o OdVt—s 0.;t4..v (3) Zclast yu
oi )..;~ iL10.6-4 y..■1
1s3 J L.L.to t>44. J.n.ç o t1ZS~
de Fakkoûs, de trois mille ducats, d'un seul coup. Son aïeul, Sârek Djàthah, s'était fait musulman par les soins de l'aïeul du même Modric.
ANECDOTE,
Ce jurisconsulte Modric m'a raconté qu'un homme natif de Tilimsân, ou Trémecen, et appelé Ibn Cheikh Alleben, avait fait don à Mensa Moûçâ, dans son jeune âge, de sept ducats un tiers. Alors ce dernier n'était qu'un enfant, et il ne jouissait pas de beaucoup de considération. Plus tard, il arriva qu'Ibn Cheikh Alleben se rendit, à cause d'un procès, chez Mensa Moûça, qui était devenu sultan. Celui-ci le reconnut, l'appela, le fit approcher et asseoir avec lui sur le penpi. Ensuite, il le força à mentionner la bonne ac-/ion que ce personnage avait commise à son égard , et dit aux commandants : a Quelle récompense mérite celui qui a pratiqué ce bienfait? » Ils lui répondirent : « Un bienfait dix fois aussi considérable. (Cf. Coran, vi, 161.) Or donne-lui soixante et dix ducats. » Le souverain lui fit cadeau immédiatement de sept cents ducats, d'un habillement d'honneur,
i
~
11
~
t•
|
Copyright (C) 2003-2019
National Institute of Informatics(国立情報学研究所)
and
The Toyo Bunko(東洋文庫). All Rights Reserved.
本ウェブサイトに掲載するデジタル文化資源の無断転載は固くお断りいたします。