国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
| |||||||||
|
Voyages d'Ibn Batoutah : vol.4 | |
イブン=バットゥータの旅 : vol.4 |
ii
D'IBN BATOUTAII. 219
Lt., 5 UAâ~ i~~,,s a.p.? ac)„133i,
~Jw coLiAwi9 v.,e;~s~,,~~,~i
c;,.,. 211 yyr..li
.i(1.3 1)1i di ,;,)%.4‘>-6 rej,s (403
f ~Li )Ju
u K Lat9 k.s44
c;IS, ;L:ftaj,., tf.As w) its.:::.1i Ji
ei ,y5
ac.►■J> . ,M
c,r. ~_~t.b .~ t.,e..~~,.~1i9 4j.~li
W .
u i ac.äJ lt ~ e1 .~:i i vi ~~~1 i ~1~~. i; R-j.,o
de laquelle il rompt le jeûne tous les dix jours, comme nous l'avons déjà dit. A mon entrée chez lui, il se leva, m'embrassa et m'interrogea touchant mon pays et mes voyages. Je l'instruisis de ces particularités, et il me dit : « Tu es le voyageur (par excellence) des Arabes. » Ceux de ses disciples qui étaient présents, lui dirent: « Et des Persans aussi, ô notre maître. » Il reprit : « Et des Persans; traitez-le donc avec considération. » On nie conduisit à l'ermitage, et l'on me donna l'hospitalité pendant trois jours.
ANECDOTE ÉTONNANTE ET QUI RENFERME LE RÉCIT
DE PLUSIEURS MIRACLES DU CHEÏKH.
Le jour même où j'entrai chez le cheikh, je vis sur lui une ample robe de poil de chèvre, qui nie plut. Je dis donc en moi-même : « Plût à Dieu que le cheikh nie la donnât! » Quand je le visitai pour lui faire mes adieux, il se leva, vint dans un coin de sa caverne, ôta sa robe et me la fit revêtir, ainsi qu'un haut bonnet, qu'il retira de dessus sa tête; lui-même se couvrit d'un habit tout rapiécé. Les fakirs m'informèrent que le cheikh n'avait pas coutume de
|
Copyright (C) 2003-2019
National Institute of Informatics(国立情報学研究所)
and
The Toyo Bunko(東洋文庫). All Rights Reserved.
本ウェブサイトに掲載するデジタル文化資源の無断転載は固くお断りいたします。