国立情報学研究所 - ディジタル・シルクロード・プロジェクト
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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.1 | |
五百の物語と寓話 : vol.1 |
118 CONTES BOUDDHIQUES_ (N°s 34-35)
Le maître de maison s'écria en soupirant « Fort -bien! Y eut-il jamais parmi les sages de l'antiquité quelqu'un qui ait pu vous, surpasser ? » Il choisit alors parmi ses servantes une . fille de bonne conduite et en. même temps de belle figure et il la lui donna comme épouse ; puis il abandonna une partie de sa • fortune pour assurer son établissement. Le sage dit.: « Je perfectionnerai ma conduite et je rehausserai ma vertu. » -- (Le Buddha dit :)Celui qui en ce temps était le sage pauvre, c'était moi-même ; sa femme, c'était K'ieou-yi (Clopâ)...
Telle est la manière dont la pâramitâ de ferme résolution du Bodhisattva pratique la moralité (çîla).
N° 35.
( Trip., VI, 5, p. 64 v°.)
Autrefois le Bodhisattva était un homme du commun peuple ; il avait confié sa vie aux trois Vénérables et observait les défenses rigoureusement. Lui et son oncle allèrent colporter des marchandises pour gagner leur vie. Comme ils étaient arrivés dans un pays étranger, l'oncle traversa le premier la rivière et s'arrêta chez une veuve ; dans cette maison il y avait une jeune fille qui dit à sa mère : « Derrière (notre habitation) se trouve un bassin pour se laver; nous devrions l'échanger à ce marchand contre des perles blanches. » La mère suivit l'avis de sa fille et montra le bassin au marchand ; celui-ci le gratta avec son couteau pour l'examiner et reconnut qu'il était fait en une matière. précieuse pure.; mais, par ruse, il le jeta par terre en disant : « Cet objet me salit les mains » ; puis il sortit et poursuivit sa route ; la mère et sa fille furent toutes honteuses.
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