profité pour inviter à dîner le Buddha et les quatre catégories (de sa suite). Je &sire qtie vous leur prépariez des Mets doux et excellents. » Son père et sà mère acceptèrent ce qu'il disait ef'sé'contfôrnièrént à ges flar`61es; ils slénier-: veillèrent de ce 'que', malgré son jeune âge, il avait conçu une noble pensé:e ; ell'outre, Hg' trouvèrent adinirable que, par ga conduite, il eût pu explorer et cônnaltre seg''Vies antérieuies; riienant les ôbjetg lés pliis kécieuk* et les plus exquis, ils- ragseniblèrerit les aliments dontla saveur étàit la plus 'répttée dans le monde, rèCherchèrent 't6ùt
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ce qu'il y avait desmeilleur 'et de plus fin et .dépasgèrent même ce dont l'enfant avait eu l'idée. Le Buddha et les, religieux' en foUle, cause de cette action méritoire, vinrent'thus; en ayant recciut's à-leurs' puigsances surnaturel- . les; idan.s la 'demeure' de l'enfant pour y manger. Le _père et Ia mère,'les grands ales petits Ieui firent .des offrandes et les nourrirent, et quand ce fut fini, firent passer des' parfums, et dé l'eau pour se' laver; tout cela fut 'conforme à la' Loi. 'Le Buddha leur expliqua les livres saints; aussitôt, le père,'Ia. mère,-airisi que' l'enfant et tous leurs parents en ligne paternelle et maternelle, obtinrent tous le degré d'a-tilei-yue-lche (avi-vartin);
Si telle esfla grandeur du bonheur produit par le fait dé'-Prendre son refuge .(dang .les trois. Vénérables), quel, ne sera pas (le bonheur qu'on acquerra), si jugqu'N la fin de sa .irie; on agit conformément à la sagesse et à la' religion.
(Fin du Kieou isa pi-yu king.)
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