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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.1 | |
五百の物語と寓話 : vol.1 |
832 CONTES BOUDDHIQUES (Nos 63-64)
vous perdrez la vie toutes sans exception. » Quant à lui, il cessa de manger ; son corps décharné devint chaque jour plus maigre et il put enfin sortir à travers les barreau.
x. Se retournant alors, il dit à celles qui restaient : « Bannissez l'avidité, renoncez à manger et faites comme moi. » Après avoir ainsi parlé, il s'envola.
Le Buddha dit aux bhiksus : « Le roi-colombe c'était moi-même. »
Telle est la manière dont la pâraénitâ de volonté ardente du Bodhisattva est énergique.
N° 64.
(Trip., VI, 5, h. îG v°-76 z'°).
Le sûlra du roi-abeille.
Voici ce que j'ai entendu dire : Un jour le Buddha se trouvait à Çrâvastî, dans le Jetavana; dans le jardin d'Anâthapindada. Le Buddha dit aux disciples : « Il faut progresser avec ardeur dans la perfection, apprendre et réciter et ne jamais se lasser ni être accablé par l'obscur. cissement de l'intelligènce. Je me rappelle que, il y a de cela des kalpas innombrables, il y avait un Buddha nommé le Roi sauveur de tous les êtres, le Tathâgata, l'Arhat, le Samyaksambuddha. Un jour, en faveur d'une foule innombrable de devas et d'hommes, il expliquait la doctrine des livres saints ; or, dans l'assemblée, se trouvaient deux bhiksus, l'un nommé Tsing-lsin pien (Vîrya...?), et l'autre Tö-lo-lche (Gunaruci ?), qui écoutaient ensemble la doctrine des livres saints.
Tsing-fsin pien, qui entendait les livres saints avec ra-
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