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0105 Cinq Cents Contes et Apologues : vol.1
Cinq Cents Contes et Apologues : vol.1 / Page 105 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000294
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CONTES BOUDDHIQUES> (>.'s • 1 -4=   7.11.

cerf, il serait puni corsme.s i1iayaif:Eaiti.duaaakà- un, homme.. A partir de ce moment, le, roi.: et taus ses off c.ie s,se- ccin vertirent les uns à la suite des. autres,;.., h s: gens] dui F,~up1 se conformèrent à la bonté et< ue tu+àrc ntEplu leu:s: soies s'étendirent jusqu'aux herbss.ettau .arbre ,el..le ro/aulne, jouit alors d'une grande paix:.

Le Bodhisattva, d'existence en: existanee.,, met. en. péril. sa vie pour secourir les êtres ; ses actions, mkr..it iness s réalisant et sa vertu. s',élemant,, ii. devient ainsii urL mésré- rable héros.

Le Buddha dit aux bhiksus : « Celui qui en ce temps était le roi des cerfs, c'était moi-même; le roi du royaume, c'était Chö-li-fou (Çariputra),. »

Telle est la manière dont la pâramitâ de charité du Bodhisattva pratique la, libéralité.:

NP 19

( Trip.,; V I, 5-, p. 5.9 v°.)

Autrefois le Bodhisattva étai.tt uu. cygne fbnie.1Pe: qui' avait-mis au monde trois petits; or, en ce temps; une- grande sécheresse sévissait dans l'e royaume, et if n'éut pas d quoi les nourrir; il' déchira d'e lh chaii^ sous ses. aissellbs` pour leur sauver la vie; les trois petits conçurent un douter et se dirent : « Cette chair a exacténent l'h même: odeur- que celle du corps de notre mè're:; ne serait-ce;- pus- que-notre mère nous nourrit de sa propre: cuir?' » Les- trois petits, très affligés, eurent! dés sentiments de tristes-se-; _ils dirent encore : « Mieux vaut perdes lf vié que, de.

nuire au corps de notre mère. » Alors d'arc   fbrmè'rent
le bec et refusèrent dé manger. La mère, voyant qu'ilb ne mangeaient pas, se remit en gp.ête, (h, nourriture).