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Cinq Cents Contes et Apologues : vol.1 |
CONTES BOUDDHIQUES (N° 79) 291
actions excellentes, et les livres saints devaient servir à gouverner.
A partir de ce moment, la bienfaisance du roi atteignit jusqu'aux herbes et aux arbres ; les ministres fidèles furent sincères et en même temps désintéressés et modestes ; les pères, agissant suivant la règle et les mères observant la convenance, chaque famille mit en honneur ces vertus ;
comme on se conformait à 'la raison, à l'intégrité et à la bonne foi, dans chaque maison il y eut des fils doués de
piété filiale. — Le Bienheureux (Bhagavat) dit : « Ces deux
Bodhisattvas avaient remarqué que le souverain de ce royaume ne connaissait pas les trois Vénérables, que les
ministres et le peuple avaient l'esprit troublé et se lais-
saient aveugler par de fausses opinions, comme quelqu'un qui marcherait les yeux fermés au milieu des ténèbres ;
ils eurent pitié de ces gens qui ne faisaient que naître et mourir sans voir les livres saints du Buddha, et c'est pourquoi ils accomplirent ce phénomène afin de leur éclairer la vue. »
Le Buddha dit aux bhiksus : « lira-lai, c'était moi-même ; T'i-k'i-lo, c'était Maitreya (Mi-le). »
Telle est la manière dont le l3odhisat!va concentre soa cœur par la pâramitâ de contemplation.
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