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Voyages d'Ibn Batoutah : vol.2 |
D'IBN BATOUTAH. 127
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à la gauche du sultan. Les porte-drapeaux , les timbaliers , les clairons et les trompettes suivent ce prince; puis viennent les esclaves du sultan, puis les émirs, chacun d'après son rang. Chaque émir possède des étendards , des timbales et des trompettes. L'émir djandar (ou émir du guet; cf. ci-dessus, p. 64) est chargé de faire observer toutes ces dispositions, et il a sous ses ordres un nombreux détachement. Le châtiment de celui qui reste en arrière de sa troupe et de son corps consiste à lui ôter sa chaussure, à la remplir de sable, et à la suspendre au col du coupable. Celui-ci marche à pied , jusqu'à ce qu'il soit arrivé au lieu de la station. Alors on l'amène-à l'émir, on le jette le ventre contre terre , et on le frappé de vingt-cinq coups de fouet sur le dos, soit qu'il jouisse d'un rang élevé, soit qu'il occupe une position infime; car on ne dispense personne d'obéir à cette loi.
Lorsque les troupes arrivent au lieu du campement, le sultan et ses mamioûcs se logent dans un quartier séparé. Chacune des khâtoûn ou épouses du sultan loge aussi à part; et elle a son imâm et ses moueddhins, ses lecteurs du Coran,
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