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0483 Voyages d'Ibn Batoutah : vol.2
Voyages d'Ibn Batoutah : vol.2 / Page 483 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000219
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VARIANTES ET NOTES.   /155

p.166 (1). Lems. 9o8 porte ce f «Allouha (?) ».—Ibid. (2). La leçon des mss. 909 et 910 est v f i f , et celle du ms. 91 1 (....3L0 `~ i .

p. 187 (1). Nous avons rendu v~9JI~, par «robes amples», en nous

référant à un des sens du verbe c   à la seconde forme : longum fecit:

en effet, la seconde forme ayant ordinairement le sens transitif, on peut supposer que la première signifie « être long ». (Cf. aussi , dans Freytag, les

mots   1* et 7;12.1 ) Mais nous devons faire observer que le mot

désigne peut-être une sorte d'étoffe particulière, comme le terme cjio, dérivé de la même racine, et sur lequel on peut consulter M. Quatremère, Histoire des sultans mamlouks, t. II, 2° part. p. 75. De plus, au lieu de L...)i.a„b, le manuscrit de M. de Gayangos (cité par M. Dozy, Dictionnaire détaillé des noms des vêtements, p. 356 note) , porte

v1j9)1, mot que M. Dozy regarde commme synonyme de il)». et

«étoffe de brocart. » Sur le motf~U, désignant une sorte d'étoffe, qui n'est pas toujours faite de soie, voyez encore l'Hist. des Mamlouks, ibid.

P. 74..

P. 191 (I). «Ibn Batoutah n'a passé qu'une nuit à Mombas, et le temps lui a manqué pour examiner cette localité; aussi a-t-il un peu exagéré l'étendue de l'île. Ce qu'il dit de la distance qui la sépare de la terre du Souahhel donnerait à penser qu'alors le littoral ainsi désigné comprenait seulement la partie des côtes basses qui s'étend depuis la pointe Ponna jusqu'aux environs du cap Delgado. „Aujourd'hui le pays desSouahhéli ou le Souahhel est considéré comme commençant à partir du Djoub.» (Note communiquée par M. le capitaine Guilain.)

P. 19.2 (1). Au lieu de "c;..). , les mss. 909 et 911 lisent o)~:.a, et

le ms. 908, ainsi que celui de M. de Gayangos, ts9   . Quant aux Li-
miîn,, ils sont mentionnés ailleurs par Ibn Batoutah (voyez Journ. caju!. mars 1843, p. 201) comme habitant les bords du Niger, et dépendants de la ville de Melli. (Cf. Desborough Cooley, The negroland of the Arabs,. London , 1841, p. 115.)

P. 229 (1). Dans la seconde partie de sa relation, notre voyageur a encore mentionné plusieurs des localités ici nommées; il y détermine, lettre par lettre, la manière dont leurs noms doivent être prononcés.

D'après ce second passage, on devrait lire Alkouréyât, Chabbah

et Cal bah ,   45.

P. 23o (1). Au lieu de   0..,0 « une ville» , le ms. 910 porte   «un

pays». Le nom deMoûghostâo, ou Moghistân, désigne la partie de-la province de Kermân située sur le golfe Persique. (Cf. Texeira, Voyages, 2e partie, Paris, 1681, p. 113. )

P. 233 (1). Texeira est entré dans d'assez grands détails sur Kothb