National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
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Le T'ai Chan : vol.1 | |
The Tai Shan : vol.1 |
Le Chou tchouang yuan (No 190). |
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trois paires de bras supérieures brandissent le soleil et la lune, un arc et une flèche, une cloche et un poignard ; les deux bras inférieurs tiennent leurs mains jointes. Il est impossible de monter au haut de la tour, car l'escalier est vermoulu ; on y verrait, nous dit le gardien, la déesse qui guérit de la toux (K'o souo niang niang).
Fig. 31.
Le Chou tchouang yuan (N° t go).
En avant de la tour, comme on le voit bien sur la fig. 31, se trouve un bâtiment précédé d'un porche à trois ouvertures; dans ce bâtiment est une statue de femme avec son double; on appelle aujourd'hui cette divinité la vieille
mère du T'ai chan (T'ai chan lao mou ((i -t) ou
encore la vieille mère qui n'est jamais née, c'est-à-dire
éternelle (Wou cheng lao mou le ! 14); il semble
donc qu'on en fasse une déesse du T'ai chan, peut-être identique à la Pi hia yuan leiun; mais, à l'origine, cette déesse paraît avoir été la mère reine d'occident (Si Wang mou) ;
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