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0364 Le T'ai Chan : vol.1
The Tai Shan : vol.1
Le T'ai Chan : vol.1 / Page 364 (Color Image)

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doi: 10.20676/00000293
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N° 4.

Eloge de l'auguste Empereur qui développe la vie, par
l'empereur Tchen tsong, de la dynastie Song 1).

Si on veut traiter suivant les règles le pic élevé, assigner sa place glorieuse à celui qui exerce une influence céleste et chthonienne, il convient que celui qui préside à la vie dans le territoire oriental, celui dont l'intelligence est comparable à l'intelligence de l'Empereur d'en haut, ait son nom au premier rang sur la liste des bienheureux, et répande sa bienfaisance sur toute la multitude du peuple; qu'il goûte aux sacrifices réguliers parmi les parfums de l'armoise et du millet; qu'on grave ses excellentes louanges sur le métal et sur la pierre. En ce moment où j'accomplis avec diligence la cérémonie fong et où je réponds avec respect aux faveurs

I) Dans le temple de l'Empereur vert, au pied du T'ai chan (cf. p. 121 lignes 1-6), se trouvait autrefois une stèle rappelant que l'empereur Tchen tsong, de la dynastie Song, avait, en l'année ioo8, conféré à la divinité

connue sous le nom d'Empereur vert p i&A le titre de „auguste empereur

qui développe la vie" Lk.   'j. J ; ce titre élevait l'Empereur vert

d'un rang dans la hiérarchie taoïste en remplaçant son titre de tchen kiun

par celui de z4 4. On, lisait sur la stèle, d'abord un éloge écrit

en gros caractères, puis, en caractères plus petits, le décret officiel conférant un nouveau titre à l'Empereur vert, enfin le texte de la prière par laquelle on avait informé la divinité de la gracieuse mesure prise à son égard. La pierre paraît être aujourd'hui perdue; mais on a conservé les textes qui y étaient gravés; je les reproduis ici (p. 344) d'après le K'ieou kou lou de Kou Yen-wou (p. 5 va-7 v° de la réimpression du Houai lou ts'ong chou).

gk