National Institute of Informatics - Digital Silk Road Project
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Le T'ai Chan : vol.1 | |
The Tai Shan : vol.1 |
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cine." — Après un assez long contour, le chemin atteint un arc de triomphe en pierre') qui signale le
,caf g, a Houei ma ling „Montagne où les chevaux s'en retournent." Ce nom indique que les chevaux ne peu- vent pas monter plus haut. A partir d'ici, pour le voyageur qui descend, le chemin devient beaucoup plus aisé; aussi allons-nous voir les édifices se multiplier.
. e Ca: Yu houang miao „Temple du Souverain de
jade." Petit édifice où on ne voit qu'une statue de facture fort médiocre ; la figure du dieu est toute brune.
' . Yuan kiun tien »Salle de la princesse." La
déesse, portant sur sa coiffure les trois oiseaux aux ailes
éployées, tient en main un kouei vert, rouge et or;
elle a quatre assistantes qui tiennent des kouei verts à la base et blancs au sommet.
hou tien ko „Pavillon de l'univers dans un
pot". — Ce porche monumental à été construit en 1747 sur l'emplacement où avait été élevé sous les Ming, entre 1522 et 1566, le cheng sien ko (. fW J „Belvédère où on monte à l'immortalité" (D, 17 r°).
I Hie ma yai »Escarpement où on fait se
reposer les chevaux" (fig. 23). — La roche formait ici autrefois un abri sous lequel on pouvait loger des chevaux; aussi
la nommait-on parfois »l'écurie pour les chevaux"
on l'appelait encore „l'escarpement des trois mots" 14-
parce que les trois caractères formant son nom avaient été tracés, disait-on, sur la roche par le pinceau de l'immortel Lu Tong pin auquel on attribue en Chine tant d'autographes extraordinaires (cf. T'oung pao, 1906, p. 698-700). — Nous
I) Ce monument à été reproduit dans le livre du p. Tschepe (fig. 20), mais la photographie a été invertie.
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